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Après dîner, d'Hauterive me proposa un peu de musique... Vous m'aviez dit: «Je ne serai pas rentrée avant onze heures...» j'étais libre!... j'accepte, et nous allons aux Italiens! C'est donc pour cela que je ne vous y ai pas vu; car j'y étais!

Déclarons tout de suite que ceux-ci, réclamés aussitôt par la justice paraguayenne, se livrèrent d'eux-mêmes, comptant davantage sur la générosité du maréchal Lopez que sur l'interprétation, faite par M. Washburn, dans sa correspondance officielle, des textes de Grotius, de Vattel, de Martens, de Chambrier d'Oleires, d'Hauterive et autres écrivains diplomatiques.

On fait deux ou trois plaisants contes de ce M. d'Hauterive. Il avoit un cuisinier qui épiçoit toujours trop. Il le menaça long-temps de l'envoyer aux Moluques chercher des épiceries, puisqu'il aimoit tant

Vous? dit mademoiselle de Porhoët en faisant une halte subite; vous êtes un Champcey d'Hauterive? Mâle, oui, mademoiselle. Ceci change la thèse, dit-elle; donnez-moi votre bras, mon cousin, et contez-moi votre histoire.

On fit choix de M. de Vitrolles, ami de M. Mollien et de M. d'Hauterive, homme

Alexandre-Maurice Blanc, comte d'Hauterive, en 1754, entra dans la diplomatie et fut secrétaire de M. de Choiseul-Gouffier

Non, monsieur le marquis, et je ne vous cacherai pas que vous devez vous armer de courage pour l'apprendre; mais il est dans mes habitudes de procéder avec méthode. Ce fut, monsieur, en l'année 1820, que mademoiselle Louise-Hélène Dugald Delatouche d'Erouville fut recherchée en mariage par Charles-Christian Odiot, marquis de Champcey d'Hauterive. Investi par une sorte de tradition séculaire de la direction des intérêts de la famille Dugald Delatouche, et admis en outre dès longtemps près de la jeune héritière de cette maison sur le pied d'une familiarité respectueuse, je dus employer tous les arguments de la raison pour combattre le penchant de son coeur et la détourner de cette funeste alliance. Je dis funeste alliance, non pas que la fortune de M. de Champcey, malgré quelques hypothèques dont elle était grevée dès cette époque, ne fût égale

"A ces causes, dit-il, j'institue par ce testament olographe pour légataire universel de tous mes biens tant en Espagne qu'en France, sans aucune réserve ni condition, Maxime-Jacques-Marie Odiot, marquis de Champcey d'Hauterive, noble de coeur comme de race. "Telle est ma volonté. "Comtesse de PORHOET-GAEL."

Il est vrai que ma paresse d'esprit et mon indolence de caractère expliquent mon ignorance naturelle; mais dans le nouveau milieu je respirais, les idées me tombaient toutes faites comme des alouettes rôties. C'était pour moi une affaire d'écrire; M. d'Hauterive l'a raconté. Il entre un jour chez moi, demandant une lettre. Eh bien? Il faudrait répondre. De ma main? Mais oui.

"Revenu en France dans ma vieillesse, je m'informai de la situation des Champcey d'Hauterive: elle était heureuse et opulente. Je continuai de me taire. Que mes enfants me pardonnent! Je n'ai pu trouver le courage, tant que j'ai vécu, de rougir devant eux; mais ma mort doit leur livrer ce secret, dont ils useront suivant les inspirations de leur conscience. Pour moi, je n'ai plus qu'une prière