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Les Couroumbas se logent un peu mieux. Ce qu'ils appellent un village, nous le dirions

Au pied des Nilgherris, presque perdus dans les hautes herbes du marécage, grouillent les Iroulas, plus noirs , chétifs et malsains même que les Couroumbas, avec lesquels on pourrait facilement les confondre, sauf que ces malheureux ne s'adonnent

Ce portrait, dans ce qu'il a de peu flatteur, s'applique sans conteste aux misérables Iroulas et Couroumbas, aux Cotas

Viennent ensuite les Cotas, petits ouvriers et artisans, et enfin les sylvicoles, Couroumbas et Iroulas, essentiellement chasseurs, mais vagabonds aussi, voleurs et artistes, mendiants et sorciers. Et leurs demeures? Les Iroulas gîtent dans la jungle, en des bauges; s'abritent dans une caverne ou sous une saillie de rocher; se font des paillotes et gourbis.

A l'instar des Couroumbas, ils se produisent comme bouffons, bateleurs et comédiens, et on les paye en jus de palmier qu'ils boivent avec excès. Dans leurs représentations, ils mettent en action certains épisodes obscènes, et particulièrement les aventures du Krichna Govinda séjournant parmi les bergères.

Passons aux Couroumbas qui, au nombre de deux mille environ, habitent la jungle, les endroits les plus malsains de la forêt, les marécages qu'une chaleur torride assèche et empoisonne.