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La succion du clitoris et le lèchement de la vulve avec la langue constitue le saphisme. Le saphisme féminin est préféré par les femmes lubriques

Le clitoris est placé en haut et en avant de la vulve, sous deux petites lèvres, tout près et au-dessous du pubis ou mont de Vénus,

A ce cri un chien énorme sort d'une cache, s'élance sur la Comtesse et se met en train de lécher ardemment un clitoris dont la pointe sortait rouge et enflammée.

Quand la femme se tient sur ses mains et ses pieds comme un quadrupède, et que son amant la monte comme un taureau, cela s'appelle l'union de la vache. Dans cette position, on peut faire sur le dos toutes mignardises qui se font ordinairement sur le devant du corps. L'homme peut aussi saisir avec sa main droite les seins et avec la main gauche titiller le clitoris, tandis qu'il meut son linga dans le vagin, ce qui double la volupté de la femme ainsi caressée et peut hâter son spasme de manière

L'absence de l'un des organes génitaux, clitoris, vagin ou ovaire, suffit quelquefois, mais exceptionnellement,

Quelques parures que j'eusse auparavant portées, je me trouvais alors bien plus belle de ma seule beauté; je me regardais dans les glaces avec une complaisance satisfaite, un contentement singulier. Je paraissais d'une blancheur éblouissante, mes petits tétons, si jeunes encore, s'élevaient sur mon sein comme deux demi-boules parfaitement rondes, relevées de deux petits boutons d'une couleur de chair rose; un duvet clair ombrageait une jolie motte grasse et rebondie qui, faiblement entrouverte, laissait apercevoir un bout de clitoris semblable

Elle avait émis dès le troisième coup de langue, et, dans son délire, elle élevait ses jambes en l'air, faisait claquer ses jolis talons, haussait du cul, pour favoriser l'application de la bouche de son gamahucheur, et l'intromission de la langue qui lui chatouillait le clitoris.

La science repousse aujourd'hui l'ancienne théorie de la toute puissance du clitoris sur la production des désirs vénériens chez la femme et son développement exagéré n'est point la cause directe de la luxure et de la tribadie.

Quelquefois il se mettait sur moi, sa tête entre mes cuisses et la mienne entre ses genoux; il couvrait de sa bouche ouverte et brûlante toutes les lèvres de mon con; il les suçait, il enfonçait sa langue entre deux, du bout il branlait mon clitoris, tandis qu'avec son doigt ou le godemiché il animait, il inondait l'intérieur.

Il fallut enfin se reposer; nous nous assîmes, et nous les engageâmes de reprendre pour quelques instants leurs habits; mais nous ne fûmes guère plus tranquilles: dans l'état nous étions, nos yeux, nos mains, nos bouches, nos langues, tout rappela les désirs; nous parlions foutaise; nos tétons, nos fesses, nos cons étaient maniés, baisés; nous les rendions, ces caresses, des vits et des couilles en étaient les objets. Bientôt les effets en parurent avec fierté, nous les ressentîmes aussi; nous bandions tous encore, nos clitoris gonflés le démontraient aussi bien que la fermeté de leurs vits; nous courûmes sur les traces du plaisir qui nous avait échappé; nous le ramenâmes