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»Vous avez omis le fac-simile dans Childe-Harold, ce qui fait un effet d'autant plus singulier qu'il y a une note expressément

Shakespeare était-il boiteux comme lord Byron, Walter Scott et les Prières, filles de Jupiter? S'il l'était en effet, le Boy de Stratford, loin d'être honteux de son infirmité, ainsi que Childe-Harold, ne craint pas de la rappeler

J'ai lieu de supposer aussi après que la grande colère de messieurs les journalistes sera un peu calmée, que ces petits poèmes pourront amener un plus grand débit du Corsaire, objet plus important pour vous, ce me semble, qu'une septième édition de Childe-Harold. Du reste, faites comme vous voudrez, pourvu que la disparition de la pièce en question ne m'attire pas le reproche de crainte.

»P. S. Avec la prochaine édition de Childe-Harold, vous pourrez imprimer les cinquante ou cent premiers vers de la Malédiction de Minerve, jusqu'

»L'article S. R. est très-poli; mais que veulent-ils dire quand ils avancent que Childe-Harold ressemble

Pendant ce tems, et durant les mois de janvier et de février, il faisait imprimer son poème de Childe-Harold. C'est aux nombreux changemens et aux additions qu'il y fit pendant l'impression, que nous devons plusieurs des plus beaux passages. En effet, en comparant la première ébauche des deux chants avec l'ouvrage tel que nous le possédons aujourd'hui, on sent bien ce don du génie, non-seulement de surpasser les autres, mais de se perfectionner lui-même. Dans le principe, le lecteur faisait connaissance avec le petit page et le valet de chambre, dans les deux stances si faibles que nous allons citer: il est inutile de dire combien le poète a gagné de variété et d'effets dramatiques en étendant la substance de ces deux stances sous la forme si légère et si lyrique, qu'elles ont actuellement: À sa suite se trouvait un page, jeune paysan, qui servait bien son maître. Souvent son babil charmait Childe-Burun , quand son noble cœur était plein de tristes pensées dont il dédaignait de parler. Alors il lui souriait, et le jeune Alwin souriait aussi, quand, par quelqu'innocente plaisanterie, il avait suspendu et séché les larmes prêtes

Peu de tems après la publication de Childe-Harold, le noble auteur vint me faire une visite le matin; et me mettant dans la main une lettre qu'il venait de recevoir, me pria de vouloir bien me charger pour lui de toutes les démarches que cette lettre pourrait nécessiter. Elle lui avait été remise par M. Leckie, auteur bien connu d'un ouvrage sur les affaires de la Sicile, et elle venait d'un des anciens coryphées du monde fashionable, le colonel Gréville. Son but était de demander de Lord Byron, comme auteur des Poètes anglais et les Journalistes écossais, une réparation convenable de l'injure que le colonel pensait avoir reçue dans certains passages relatifs

»Croyez-moi, bien sincèrement, etc., etcLe 27 février, un jour ou deux avant la publication de Childe-Harold, il fit le premier essai de son éloquence

»Mrs. Leigh est avec moi, fort contente de ce domaine, fort mécontente de ce que je m'en défais, ce dont rien ne la peut consoler, pas même le prix élevé que j'en retire. Votre paquet n'est pas encore arrivé, du moins les Magazines, car j'ai reçu Childe-Harold et le Corsaire. Tous deux paraissent bien imprimés, ce qui me fait beaucoup de plaisir.

Les premiers traducteurs, commentateurs et admirateurs de lord Byron se sont bien gardés de faire remarquer que quelques pages de mes ouvrages avaient pu rester un moment dans les souvenirs du peintre de Childe-Harold; ils auraient cru ravir quelque chose