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Les Espagnols durent, bientôt après, conclure un traité avec le cacique victorieux, qui venait en même temps de venger mille fois sa fille Catalina. Enfin le marquis de Garba y Palos, retiré des prisons de Lima, ayant repris le gouvernement de Cuzco, les années de trêve commencèrent. Isabelle grandit sous les yeux de son aïeul. Elle se développait en force et en grâce, telle que sa mère.

Au nom de Gabriel-José Tupac Amaru, en avant! s'écria Isabelle l'épée en main. Et le corregidor écrivit au vice-roi que la fille de Catalina évoquait la mémoire du fameux chef de l'insurrection de 1780. Isabelle pourtant ne parlait qu'au nom de son fils aîné. La pauvre mère le compromettait, hélas! sans prévoir qu'il faudrait le livrer aux nations réunies autour d'elle.

Pour l'honneur de Diaz, et pour montrer que la jeune et belle cacique de ces contrées avait fait sur le coeur de son amant une impression aussi profonde que passionnée, nous constaterons qu'il la fit baptiser sous le même nom de Catalina que les Espagnols avaient donné

Et une fois dans la grande salle, s'adressant aux portraits de son père, de sa mère et de Catalina la Péruvienne: Êtes-vous contents de moi? demanda-t-il au milieu du plus profond silence. Quel écho mystérieux lui répondit? Fût-ce les esprits familiers du sombre castel? Fût-ce la voix de sa conscience? On ne sait.

Et l'arrivée, la plage, la soirée, le lieutenant Gérard, la Catalina, l'anniversaire, le Jerez, tout me revint

Une seconde trêve de sept ans succéda ainsi aux troubles qui n'avaient guère cessé depuis la retraite de l'époux de Catalina. Durant ces sept années, Gabriel grandit sous les yeux des caciques, non sans prendre quelquefois la mer

Isabelle, doucement émue, se laissait captiver par les doux propos de Léon, qui bientôt ne lui parla plus que du passé: Je vous vis en costume de voyage. L'enfant de Catalina était devenue jeune fille, et l'emportait par ses grâces même sur les grâces de sa mère. Je vous aurais reconnue

Les uns avaient fait le siége de Sorata, les autres avaient suivi la bannière de Catalina, la mère d'Isabelle; tous ils avaient connu le Lion de la mer. Andrès fit un signe, le silence se rétablit.

Les Péruviens répondirent par mille cris de dévoûment. Vive la fille de Catalina! Vive la nièce de Tupac Amaru! Vivent Isabelle et le Lion de la mer!... Vive

Catalina! dit joyeusement M. de Villebreuse: toutes les bonnes fortunes, ce soir!