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Sacountalâ, accompagnée de Canoua, le vertueux ermite, des brahmatcharis, de Gautami, de Pryamwada, d'Anousouya, de Parabhritica et de Tchatourica, ses amies, s'avance modestement jusqu'aux pieds du trône. La reine s'inquiète de l'arrivée de cette jeune femme. Madhavya conduit Sacountalâ devant le roi, qui paraît surpris en la voyant.

Ces menaces répandent la consternation parmi les jeunes filles et les brahmatcharis, qui connaissent la rancune et le pouvoir de Durwasas. Canoua d'un air calme rassure sa fille et dit qu'il va faire ses efforts pour conjurer le sort. Si Durwasas est puissant pour le mal, lui est puissant pour le bien. Il s'approche du temple, récite une formule et jette sur l'autel une poignée de l'herbe cousâ.

Durwasas, satisfait de son commencement de vengeance, s'approche de Sacountalâ; profitant de son évanouissement, il retire du doigt de la jeune fille l'anneau que le roi lui a remis et va le jeter au loin dans l'étang sacré; les jeunes filles, les brahmatcharis, les gourous rentrent ayant en tête le sage Canoua. Ils aperçoivent Sacountalâ évanouie, la relèvent et la font revenir

Entre dans ces mondes ouverts aux chefs de maison qui ne cherchent point la volupté hors des bras de leur épouse, aux chastes brahmatchâris, aux âmes généreuses, qui distribuent en largesses des vaches, de l'or, des aliments et donnent même de la terre aux deux fois nés!