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Musson n'est pas le seul peintre en qui cette double faculté d'imiter se soit trouvée réunie. Il y a entre l'une et l'autre une secrète analogie. Bellecour les possédait; et ne sont-elles pas réunies aujourd'hui au degré le plus éminent dans Henri Monnier?

Dès lors, les trois lignes d'opérations dont j'ai expliqué la position respective au commencement de la lutte avaient opéré leur jonction sur tous les points. Celle de Bellecour avait pu joindre celle des Terreaux; après la prise de Saint-Nizier et de Saint-Bonaventure, cette dernière avait pu joindre celle de la Croix-Rousse; après la libération de Saint-Polycarpe, il n'y avait plus que des résistances excentriques,

À propos de Lyon et de Bellecour, il m'est impossible de ne pas dire un mot du maréchal de Castellane, une des plus vives impressions de notre jeunesse. C'est «

Le 9 avril, au matin, les troupes de la garnison, le sac au dos, avec des provisions de guerre et de bouche, se rendent aux différents postes qui leur ont été assignés. Sur la place Bellecour stationnent plusieurs bataillons d'infanterie, massés vers le milieu de l'enceinte, du côté de la promenade des tilleuls; ils sont flanqués par de nombreux détachements de dragons et par deux batteries. Les principales têtes de pont sont occupées par des piquets d'infanterie et de cavalerie, et quelques-unes défendues par des bouches

«J'ai été élevé en province, dit le narrateur, mis en demeure de raconter, et dans la maison paternelle. Mon père habitait une bourgade jetée nonchalamment les pieds dans l'eau, au bas d'une montagne, dans un pays que je ne nommerai pas, et près d'une petite ville qu'on reconnaîtra quand j'aurai dit qu'elle est, ou du moins qu'elle était, dans ce temps, la plus profondément et la plus férocement aristocratique de France. je n'ai depuis, rien vu de pareil. Ni notre faubourg Saint-Germain, ni la place Bellecour,

Le général Buchet dirigeait le troisième corps, qui séparait Bellecour de Perrache et du reste de la ville, en s'étendant de Saint-Jean

»Je vous ai dit qu'il y avait un monsieur qui venait me voir une fois tous les ans. Quand j'eus quinze ans, ce monsieur me fit monter dans un carrosse avec ma duègne. Nous n'en sortîmes que le troisième jour, ou plutôt la troisième nuit; du moins la soirée était fort avancée. Un homme ouvrit la portière et nous dit: «Vous voici sur la place Bellecour; et voil

À Lyon, on rétablissait la place Bellecour;

Le lendemain, il passa, sur la place Bellecour, la revue de la division de Lyon. «Je verrai cette place avec plaisir, dit-il, aux chefs de la Garde nationale qui l'entouraient; je me rappelle que je la relevai de ses ruines, et que j'en posai la première pierre, il y a quinze ansIl sortit, précédé seulement de quelques hussards. Une foule d'hommes, de vieillards, de femmes et d'enfans inondait les ponts, les quais et les rues; on se précipitait sous les pieds des chevaux, pour l'entendre, le voir, le regarder de plus près, pour toucher ses vêtemens... c'était un véritable délire. À peine avait-il franchi quelques pas, que la foule qui l'avait déj