United States or Guyana ? Vote for the TOP Country of the Week !


Sylv., Rer. Bohem., 13. Cf. Act. S. Method. Après avoir médité longtemps sur la manière dont il se vengerait de l'ami perfide et du vassal félon, Arnulf s'arrêta

Cette royauté de Pepin, fondée par les prêtres, fut dévouée aux prêtres. Le descendant de l'évêque Arnulf, le parent de tant d'évêques et de saints, donna grande influence aux prélats.

Ainsi le vieil empereur se trouva relevé par son abaissement même: tout le monde s'éloigna du parricide. Abandonné des grands (834-5), et ne pouvant cette fois séduire les partisans de son père , Lothaire s'enfuit en Italie. Malade lui-même, il vit, dans le cours d'un été , mourir tous les chefs de son parti, les évêques d'Amiens et de Troyes, son beau-père Hugues, les comtes Matfried et Lambert, Agimbert de Perche, Godfried et son fils, Borgarit, préfet de ses chasses, une foule d'autres. Ebbon, déposé du siège de Reims, passa le reste de sa vie dans l'obscurité et dans l'exil. Wala se retira au monastère de Bobbio, près du tombeau de saint Colomban; un frère de saint Arnulf de Metz, l'aïeul des Carlovingiens, avait été abbé de ce monastère. Wala y mourut l'année même périrent tant d'hommes de son parti, s'écriant

105 page 223 Arnulf d'un père aquitain et d'une mère suève...

108 page 224 Cette maison épiscopale de Metz... La maison Carlovingienne donne trois évêques de Metz en un siècle et demi, Arnulf, Chrodulf et Drogon. Les évêques étant souvent mariés avant d'entrer dans les ordres, transmettaient sans peine leur siège

Aussi, un cri de réprobation s'éleva de tous les coins de l'Europe contre le roi Arnulf qui avait attiré ce fléau au midi des Carpathes. Lorsqu'il mourut en 899, atteint de la maladie pédiculaire, ont vit dans cette mort honteuse une plaie de la malédiction céleste. Un écrivain lombard, le diacre Luitprand, entonnait

Quand les Hongrois eurent touché la somme convenue, ils rentrèrent chez eux; et Arnulf, qui voulait bien l'abaissement mais non l'extermination des Moraves, laissa les deux fils de Swatepolc gouverner, comme ils pourraient, leur royaume ébranlé. Ces deux princes dont l'aîné se nommait Moymir et le second Swatepolc, comme son père, s'étaient montrés ennemis dès l'enfance : leurs discordes avaient rempli d'amertume le règne du dernier roi. S'il est vrai, que pour leur mieux faire comprendre les malheurs qu'une telle mésintelligence pouvait causer au royaume et

L'histoire nous fait voir comment les Hongrois, appelés aussi Moger ou Magyars descendent des bords du Donetz sur ceux du Danube, culbutés, chassés par les Petchénègues; comment l'empereur grec, Léon le Sage, leur ouvre les plaines de la Bulgarie, et le roi de Germanie Arnulf, les passages des Carpathes; comment enfin leur duc Arpad, fils d'Almutz ou Almus, renverse la domination des Slaves-Moraves et conquiert l'ancienne Hunnie . Les deux noms d'Almus et d'Arpad, et le rôle qu'on leur attribue appartiennent également

Arnulf était , dit-on, d'un père aquitain et d'une mère suève . Cet Aquitain, nommé Ansbert, aurait appartenu

Cependant les Hongrois, du haut de leur campement d'Erdeleu, suivaient de l'œil avec une curiosité intéressée le progrès de cette lutte , et quand ils crurent le moment venu, ils descendirent dans les plaines de la Theïsse, sans être cette fois appelés par Arnulf, mais sans que celui-ci pourtant osât s'y opposer. Ils battirent les Moraves commandés par Moymir; et une fois maîtres d'un coin de terre dans ce pays, patrimoine des anciens Huns, les nouveaux Huns y développèrent rapidement leur domination. Ç