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Je pris encore quelques-unes de ces pauvres petites bêtes. Chaque fois, nous les apportions

Nous apportions la plus grande prudence, le soir, dans le choix du lieu de notre campement et le jour dans l'ordre de notre marche, le pays étant infesté par des vagabonds, chercheurs d'or occultes, qui au lieu d'interroger laborieusement le sein de la terre, trouvaient plus commode et moins fatigant de se procurer ce précieux métal en dévalisant les voyageurs.

Et vous y avez transporté des provisions considérables? Considérables, capitaine. Ce fut ici que l'Amirauté nous envoya en 1853, sous le commandement du capitaine Inglefield, avec le steamer le Phénix et un transport chargé de provisions, le Breadalbane; nous apportions de quoi ravitailler une expédition tout entière.

Il était convenu d'avance avec le capitaine que nous prendrions terre une heure ou deux près de ces magnifiques débris; mais au moment de débarquer nous éprouvâmes une double difficulté: la première en ce que l'on nous prit pour des cholériques qui apportions la peste des Grandes-Indes, la seconde en ce qu'on nous soupçonna d'être des contrebandiers chargés de cigares de Corse. Ces deux difficultés furent levées par l'inspection de nos passe-ports visés de Cosenza et par l'exhibition d'une piastre frappée

La jeunesse actuelle cherche autre chose. Et, puisqu'on repousse cette science que nous apportions comme la révélation suprême, il faut bien que nous sachions pourquoi on la repousse. On lui reproche d'abord son insuffisance. La science, nous dit-on, n'est pas fondée; vous avez constitué des sciences, ce qui est bien différent. Et qu'est-ce que vous appelez sciences, s'il vous plaît?

La peur nous saisissait; et, dans le crépuscule, nous retournions confus, en grignotant les gâteaux, les galettes et les figues, que nous apportions pour les Rois. Et quand nous arrivions, ensuite,

C'est vrai; pour notre honneur et pour sa satisfaction personnelle, il faut que nous lui apportions quelque chose de propre, de présentable et de non avarié, en un mot; car il est amateur au moins ce diable d'Anglais. Allons voir l'écrivain des Petites-Affiches, pour qu'il nous arrange notre annonce en style du premier numéro, coûte que coûte. C'est ce que j'allais vous proposer.

Jamais!... nous sommes entrés tous deux par la porte de derrière... nous apportions un objet qui ne devrait pas être vu. Quel objet? La femme voilée se versa un verre d'eau-de-vie et dit: Ne faites pas attendre M. le baron de Hanau, s'il vous plaît. Elle passa le verre sous son voile et le replaça, vide, sur la table. Ce qu'il y a de sûr, pensait Jean Lagard, c'est que Justine ne vient pas!

Dans ce même temps, nous allions très souvent, mademoiselle Boquet et moi, dessiner chez Briard le peintre, qui nous prêtait ses dessins et des bustes antiques. Briard peignait médiocrement, quoiqu'il ait fait quelques plafonds assez remarquables par leur composition, mais il était fort bon dessinateur; c'est pourquoi plusieurs jeunes personnes venaient prendre des leçons chez lui. Il logeait au Louvre, et pour y dessiner plus long-temps, nous apportions chacune notre petit dîner, dans un panier que nous portait la bonne. Je me rappelle encore que nous nous régalions, en achetant au concierge d'une des portes du Louvre des morceaux de boeuf