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Il étoit homme de couleur ce Saint-George qu'on appeloit le Voltaire de l'équitation, de l'escrime, de la musique instrumentale. Reconnu pour le premier entre les amateurs, on le plaçoit dans le second ou le troisième rang parmi les compositeurs; quelques concertos de sa façon sont encore estimés. Quoiqu'il fût le héros de la gymnastique, etc. etc. il est difficile de croire avec ses admirateurs, qu'il tiroit

Avril 1820. Il a paru ces jours-ci un recueil de Lettres de Mme de Graffigny sur Voltaire et sur Ferney. Cet ouvrage tient beaucoup moins que ne promet son titre. Le nom de Voltaire, placé en tête d'un livre quelconque, inspire une curiosité vive et tellement étendue dans ses désirs, qu'il est bien difficile de la satisfaire. Il semble que la vie privée de Voltaire devrait offrir au lecteur une foule de détails pleins d'agrément et d'intérêt, si le caractère de cet écrivain extraordinaire était reproduit par une peinture fidèle avec toute sa mobilité originale et ses brusques inégalités. Il semble encore que le pinceau fin et délicat d'une femme serait plus que tout autre capable de saisir cette foule de nuances variées dont se compose la physionomie morale de l'homme universel, surtout dans sa liaison avec l'impérieuse marquise du Châtelet. Il aurait été piquant et peut-être plus facile

Combien de musiciens lui ont écrit: «O toiou simplement: «O!» auxquels il a répondu ou répondre: «Je suis bien reconnaissant, monsieur, que vous ayez daigné illustrer un poème qui, sans vous, fût demeuré dans l'obscurité, etcIl était railleur, le dieu de Weimar, si mal nommé pourtant par je ne sais qui, le Voltaire de l'Allemagne.

Et puis son cas est si singulier! Il est même unique dans notre littérature et, je crois bien, dans toutes les littératures du monde. Ce vagabond, ce fainéant, cet autodidacte qui, après trente ans de rêvasserie, tombe un jour dans le plus brillant Paris du XVIIIe siècle, et qui y fait l'effet d'un Huron, mais d'un Huron vrai et de plus de conséquence que celui de Voltaire; qui commence

Ma relation avec Voltaire,

En présence de cette société frivole et lugubre, Voltaire, seul, ayant l

Come sia, il Voltaire ha preso in questa Tragedia ad imitare la severit

Voltaire dut cette influence générale et considérable

Pour moi, je me console d'avoir vécu dans le siècle de Voltaire; cela me suffit. Qu'il vive, qu'il digère, qu'il soit de bonne humeur, et surtout qu'il n'oublie pas le solitaire de Sans-Souci. Vale. F

La correspondance très active entre d'Alembert et Voltaire roulait souvent sur les affaires académiques. Les deux amis, habituellement d'accord, se font volontiers des concessions. On a beaucoup blâmé l'une d'elles. D'Alembert a prêté