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2 MUS. Pray you, put up your dagger, and put out your wit. PETER. Then have at you with my wit: I will dry-beat you with an iron wit, and put up my iron dagger. Presque toutes les plaisanteries de ce dialogue portent sur des locutions et des manières de parler tellement hors d'usage, que les commentateurs sont fort embarrassés

L'attention de Marie-Louise se trouvait tellement concentrée sur l'homme au bandeau, qu'elle ne remarqua pas d'abord son fiancé, qui lui envoyait le plus gracieux des saluts. Son regard s'attachait

Mais Sancho ne trouva pas tellement bon l'avis de son maître, qu'il ne crût devoir y répondre: «Seigneur, dit-il, je suis un homme doux, calme et pacifique, et je sais dissimuler toute espèce d'injures, parce que j'ai une femme

Cette idée s'était tellement emparée de son esprit, qu'il résolut de l'éclaircir sans retard; mais ces renseignements qu'il désirait sur d'Artagnan, ce n'était point

Pendant les quatre jours qui s'étaient écoulés, le bruit de la sérénité de la prisonnière s'était tellement répandu, l'énergie et la précision de ses réponses avaient fait un tel effet, que l'admiration commençait

Je respecte mes professeurs. Même, je les aime aussi. Je les trouve beaux. On m'a tellement dit que je serai riche, que j'ai fini par le savoir. Je travaille pour me rendre digne de la fortune que j'aurai plus tard; c'est toujours plus prudent, dit mon grand- père. Mais, en somme, si je me conduis bien, c'est que ça me fait plaisir.

Eh bien! puisque c'était pour moi que vous aviez formé ce projet... je vous en supplie, renoncez-y.... Vous m'obéirez. Mon Dieu! mon Dieu! mais allez-y seul! Peu vous importe que, moi, je.... Cela m'importe tellement que vous irez, est-ce clair? Il me coûte de vous refuser; mais comme vous ne pourrez me contraindre

Il est tellement arbitraire de vouloir caractériser l'animalité par la tendance

Il était même tellement opposé

Elle eut un geste d'insouciance superbe: Baste! interrompit-elle, est-ce que les insultes me touchent, est-ce que je n'y suis pas tellement accoutumée que je ne les sens plus! J'ai dix-huit ans, je n'ai ni famille, ni parents, ni amis, ni personne au monde qui sache seulement que j'existe, et je vis de mon travail. Voyez-vous d'ici les humiliations de chaque jour! Depuis l'âge de huit ans je gagne le pain que je mange, la robe que j'ai sur le dos et le loyer du taudis je couche. Comprenez-vous ce que j'ai enduré,