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Je vois que tu as pris leur teint

Et la combinaison des nuances de son teint, de sa chevelure et de ses prunelles se fondait en un ensemble attirant et très doux.

L'un était un homme aux cheveux blonds, au teint blanc, aux yeux bleus, aux traits réguliers,

»N'est-ce pas chose bizarre, qu'une telle complication d'enfans uniques? À propos, envoyez-moi la miniature de ma fille Ada. Je n'ai que la gravure, qui ne donne que peu ou point d'idée de son teint. »Tout

Au sortir de cette conférence, ils avaient tous le teint animé. Mais l'influence de l'autorité fraternelle, si peu contestée dans les moeurs du peuple de province, avait maté la résistance de Louise. Suzanne, qui ne manquait pas de finesse, voyant dans Arsène un utile contre-poids

C'étaient les femmes, naturellement, mais surtout la plus intéressée des deux: Euphémie, ou plutôt Mimie, car on ne l'appelait pas autrement dans la famille. Cette jeune fille, quand on ne lui voyait que la tête, était vraiment délicieuse.... Elle avait le teint clair des femmes normandes et la chevelure crêpée d'une bohémienne.

Or maintenant, gentes Parisiennes, A l'oeil coquet, au teint frais et fleuri: Galant essaim, amour d'une autre Athènes, Mais qui jamais de Vesta n'avez ri: Venez

[p.261] Deux sauterelles bondissant 4041 Lui donnent fièvre et tremblement. Malebouche, que Dieu maudisse! Qui n'ourdit que vil artifice , A la dernière s'est placé, Et vers les autres empressé Va souvent et vient. S'il doit faire Le guet la nuit, ne tarde guère A monter le soir aux créneaux Et prépare ses chalumeaux, Ses cors, ses muses, ses trompettes. Lors il entonne chansonnettes Une heure durant, lais nouveaux Et gais refrains de fabliaux, Que souvent des sons il émaille D'une trompe de Cornouaille. D'autres fois sur la flûte il dit Qu'oncques femme chaste il ne vit ; Que c'est grand' joie et grand' pâture Quand on leur parle de luxure. L'une est pute, l'autre se teint, L'autre jamais ne se contraint, L'une est vilaine, une autre folle Et celle-l

Son teint bourgeonné d'alcoolique, sa sombre chevelure crépue, ses yeux noirs, cruels et froids, qui ne regardaient jamais en face, son expression dure et inflexible, le faisaient ressembler

La vie sédentaire qu'elle menait avait pâli son teint, d'où le hâle avait disparu. Ses mains aussi étaient redevenues blanches. Elle n'était plus, maintenant, embarrassée pour arranger ses beaux cheveux châtain aux reflets d'or, et telle qu'elle apparaissait, elle était si jolie, si vraiment distinguée, avec une pointe d'étrangeté dans son costume, que Séverin se demanda si elle était vraiment la même qui s'était assise dans une désastreuse toilette grise et terne