United States or Tajikistan ? Vote for the TOP Country of the Week !


» La comtesse remarque pour la première fois que cet homme a l'air malade. Ses mains tremblent en posant le plateau sur la table. Le lord ordonne

À M. de Chateaubriand H., 1er janvier 1828. La crainte d'avoir commis une faute devant vous, monsieur le vicomte, en vous écrivant la première; celle de vous avoir donné une fausse idée de moi; le regret d'être moins belle que votre trop belle chimère; et peut-être les inquiétudes d'un cœur souffrant, avaient sans doute contribué

Mais, si belle qu'elle se soit conservée en vieillissant, il est difficile de ne pas soupirer, de ne pas s'indigner devant les dégradations, les mutilations sans nombre que simultanément le temps et les hommes ont fait subir au vénérable monument, sans respect pour Charlemagne qui en avait posé la première pierre, pour Philippe-Auguste qui en avait posé la dernière.

La première pensée qui se présenta

Au sommet de la première partie de l'escalier, se trouve un terre-plein encombré de maisons. C'est l

Et pourquoi? s'écria Corysandre en se jetant sur cette espérance qui lui était présentée. Pour deux raisons: la première, c'est qu'il est un peu aventureux; la seconde, c'est que tu n'en voudrais peut-être pas. Je voudrai tout ce qui ne nous séparera pas. Tu dis cela. Cela est ainsi.

suis-je donc! Des figures françaises, de la musique française, des voix françaises, la causerie française!-Car le botaniste s'était servi de cette langue, en s'adressant aux dames, bien qu'avec un fort accent des bords du Rhin, qui m'avait confirmé dans ma première impression, relativement

C'est de première nécessité, m'a-t-il dit. Que vous ayez fait vos études et votre service militaire, c'est certainement très bien; mais cela n'intéresse personne et ne vous assure aucun titre

À onze heures la musique de la garnison, placée entre les deux tribunes, donna le signal de la première course: c'était, comme nous l'avons dit, la course au cochon.

Et maintenant, l'aimant sans défiance et autant que je l'admirais, je murmurais en moi-même ces paroles du Bouddha: "Oui, c'est par la douceur qu'il faut vaincre la violence, par le bien, le mal, par la vérité, le mensonge." Cette nuit fut divine comme tant d'autres, plus que toutes les autres, et le jour se leva radieux. Dès la première heure, belle-maman nous apporta quelques cocos frais.