United States or Saint Helena, Ascension, and Tristan da Cunha ? Vote for the TOP Country of the Week !


Rouge sombre, presque noire nous est peinte la bouche par antithèse avec la blancheur des dents. Elle rit de sa bouche sombre et montre des dents blanches comme des fleur d'anthémis arrosées de soleil, et ses gencives sont poudrées de khôl.

Sa voix était grave, ses expressions choisies; sa politesse un peu compassée rappelait la cour de Versailles dans un hameau de nos montagnes; son costume disait l'homme de distinction qui respectait son passé dans sa déchéance; sa chevelure était relevée en boucles crêpées et poudrées sur les deux tempes. Il tenait d'une main son chapeau entouré d'une ganse noire

La servante les regardait sans penser; puis elle leva les yeux et fut éblouie par l'éclat des pommiers en fleur, tout blancs comme des têtes poudrées. Soudain un jeune poulain, affolé de gaieté, passa devant elle en galopant. Il fit deux fois le tour des fossés plantés d'arbres, puis s'arrêta brusquement et tourna la tête comme étonné d'être seul.

Lui-même, dans cette clarté d'aube, apparaissait, avec sa barbe et ses cheveux de neige, d'une solidité vigoureuse bien qu'il approchât de la soixantaine, la face si fraîche, les traits si fins, les yeux restés limpides, d'une telle enfance, qu'on l'aurait pris, serré dans son veston de velours marron, pour un jeune homme aux boucles poudrées. Tiens!

Elle savourait les subtiles dégradations de ces frusques rapetassées qu'on dirait composées de feuilles mortes poudrées

Rien de comique et d'attendrissant comme ces deux petites juives sur les planches... Elles se tiennent timidement dans un coin de la scène, poudrées, fardées, décolletées et toutes raides. Elles ont froid, elles ont honte. De temps en temps elles baragouinent une phrase sans la comprendre, et, pendant qu'elles parlent, leurs grands yeux hébraïques regardent dans la salle avec stupeur.

» Ce n'est pas mon mari, c'est le parrain qui est venu avec moi... Ah! j'savais ben que je le connaissais tout d'mêmeBellequeue arrive, madame Durand lui présente l'enfant en disant: «Voyez comme il est beau!...» Bellequeue s'avance pour embrasser son filleul, mais celui-ci, qui n'est pas content d'avoir été réveillé, met ses petites mains dans les bouffettes bien poudrées de son parrain.

Rien de comique et d'attendrissant comme ces deux petites juives sur les planches... Elles se tiennent timidement dans un coin de la scène, poudrées, fardées, décolletées et toutes raides. Elles ont froid, elles ont honte. De temps en temps elles baragouinent une phrase sans la comprendre, et, pendant qu'elles parlent, leurs grands yeux hébraïques regardent dans la salle avec stupeur.

Les yeux sont découverts même quand le voile est posé. Leurs paupières sont noires, poudrées de khôl; les sourcils peints étendent au-dessus du regard leur ligne allongée; plus les yeux sont obscurs et plus ils sont beaux. J'ai vu des violettes dans un jardin; leurs feuilles étaient brillantes de rosée. Et chacune était belle comme une jeune fille aux yeux noirs qui a des larmes sur les paupières.

Mais je les prie de laisser les jeunes gens juger d'un livre qui, en quelque langue qu'il ait été écrit, a certainement été fait pour eux. Je les prie de ne point les troubler dans leurs décisions. Il n'y a que des têtes bien frisées et bien poudrées qui connaissent tout le mérite du TEMPLE DE GNIDE.