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Je suis née dans une province mes parens occupaient un rang distingué. Mon père, le général D..., y était entouré de considération; ma mère y vit encore, jouissant de l'estime générale, juste récompense d'une longue vie passée dans la pratique de toutes les vertus.

Madame Durand s'inquiète peu de ce que disent ses parens. Son fils est revenu, c'est tout ce qu'elle désirait. Madame Moka vient voir le jeune étourdi; car, en son absence, elle a souvent tenu compagnie

Je ne saurais rendre les divers sentimens que faisaient naître en moi les confidences de Maria. Elle pleurait: je mêlais mes larmes aux siennes; je lui représentais l'affreux abîme qu'elle creusait sous ses pas, la douleur de ses parens si jamais ils venaient

Un regard plein de tristesse fut la seule réponse que j'obtins; et j'appris ainsi pour la première fois ce que c'était que le silence de la douleur... On m'éloigna sous un léger prétexte. L'attitude profondément triste de mes parens me fit deviner que le regret de quitter l'Italie n'était pas la seule cause d'un chagrin aussi vif; et

Les pauvres qui n'avaient ni tombeau, ni moyens de se faire embaumer, étaient sans doute portés au bord du lac par leurs parens, qui leur mettaient sur la langue la pièce de monnaie destinée

M. de Belmont prit la parole pour se féliciter de connaître une personne telle que madame d'Albémar; il s'exprima avec beaucoup de grâce et de convenance, et sa femme, se rappelant avec plaisir qu'elle avoit vu madame d'Albémar encore enfant chez ses parens, lui parla de leurs relations communes avec une simplicité et une sérénité parfaites.

» On peut lire autre chosereprend M. de Noirmont: «par exemple... un papier, une lettre..... Une lettre! dit Ernestine. Oh! Madeleine ne reçoit pas de lettres! Qui donc lui écrirait?..... La pauvre petite n'a point de parens,.... et ce n'est pas son bon ami Jacques qui, je crois, ne sait pas plus lire que conduire une plume!...

Ils avaient le plus grand respect pour leurs morts, et les funérailles étaient accompagnées de beaucoup de cérémonies. Dès qu'un Indien était expiré, les parens faisaient entendre des cris et des gémissemens qui duraient des mois entiers. Le défunt était revêtu de ses plus beaux habits; on lui peignait le visage, et on l'exposait

» Eh bien! nous tâcherons de nous en procurer d'autresdit Démar. « Comment cela?... Comment?... Ah! ma foi, nous verrons!... Ce qu'il y a de certain; c'est que je ne retournerai pas chez mon père... Ni moi chez mes parensdit Gervais; «on voudrait encore me faire travailler, mais bernique! D'ailleurs, messieurs, nous ne pouvons pas nous quitter, nous sommes inséparables.

Mademoiselle, comme j'agis sous l'aveu et l'authorité de messieurs vos parens, qui m'ont permis d'esperer d'entrer en leur alliance, je ne crois pas qu'il soit hors des limites de la bien-seance de vous tracer ces lignes, et vous faire l