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»Voici ce que tu dois faire pour me venger. Demain, rends-toi chez mes parens, et ensuite chez ceux d'Appoline; invite-les, ainsi que Piétreville

Les parens de monsieur de Sénange, après avoir vu qu'ils n'avaient plus rien

Votre père ne vous connaissait pas comme je vous connais. Tes paroles sont autant de serpens. Tu me connais, dis-tu? Si tu es sincère, tu ne me connais pas; car je ne suis pas, en ce moment, moi-même. J'attendrai. Cependant, croyez-moi, tout ce qu'un fils peut faire pour ses parens, je le ferai. Je le vois, et je le sens déj

Nos démarches pour obtenir le retour de monsieur de V... n'ayant eu aucun succès, mon père, fatigué de s'occuper d'un ordre de choses qu'il n'aimait pas, voulut quitter Paris, et retourner dans son ermitage cultiver son jardin. Je le suivis. J'étais inquiète de la santé des parens de mon mari; on m'avait écrit qu'ils étaient malades. Peu de temps après mon retour près d'eux, je perdis ma belle-mère,

Jean, ayant fait son paquet, le tient d'une main en franchissant le toit; en deux enjambées il est dans le grenier; puis sur l'escalier qui donnait dans l'allée. Il descend sans faire de bruit, il craint de rencontrer ses parens, mais ils étaient alors

Lorsque Jean a cessé de rire, il se rapproche de mademoiselle Adélaïde et lui dit: «Est-ce que vous avez cru que je venais ici pour vous faire la cour?... Ce n'est pas ça du tout!... je viens pour vous épouser si ça vous arrange; du reste, il ne faut pas vous gêner; si je ne vous plais pas, n'en parlons plus. Ce sont nos parens qui ont eu cette idée-l

Ces officiers pourront mourir, monsieur, mais ils ne mourront pas sans vengeance: cette vengeance ne tombera sur aucun prisonnier, mais sur les parens de ceux qui ordonneraient leur mort.

«Je sens fort bien, ajoutai-je, qu'auprès de ses parens, l'honnêteté vous engage

Avertissement de l'auteur. Isolement des jeunes femmes pendant la révolution. Ma naissance et mes parens. Le général D..... mon père. Le baron de V... mon mari. Une première imprudence. Sage prévoyance de mon père. Le général D.....

À l'imprimerie, je me liai d'amitié avec un jeune homme d'esprit, nommé Wygate, qui, étant né de parens riches, avoit reçu une meilleure éducation que la plupart des autres imprimeurs. Il étoit assez bon latiniste, parloit facilement français, et aimoit beaucoup la lecture. Je lui appris

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