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C'est moi, chère enfant, qui aurais voulu embrasser ta grand'mère avant son départ. Mais, le froid était trop vif et on ne me permet pas encore de m'y exposer aussi longtemps que le voyage, pourtant bien court, de Nohant

Nohant, 12 juillet 1868. On peut, on doit aimer les contraires quand les contraires sont grands. On peut être l'élève pieux de Jean-Jacques, on doit être l'ami respectueux de Montaigne. Rousseau est un réhabilité; Montaigne est pur, il est le galant homme dans toute l'acception du mot. Sa conscience est si nette, sa raison si droite, son examen si sincère, qu'il peut se passer des grands élans de Jean-Jacques. Celui-ci avait les ardeurs d'une âme agitée. Aucun trouble n'autorisait Montaigne

Nohant, juin 1853. Merci, merci, mon cher enfant! Vous êtes la providence du théâtre de Nohant, qui vous donne plus de peine qu'il ne vaut, mais qui vaudra grâce

Nohant, 31 décembre 1863. Mon cher enfant, Je vous remercie de votre charmant travail et de vos bons souhaits de nouvelle année. Les petits services que j'ai pu vous rendre portent avec eux leur récompense, puisque vous êtes digne qu'on s'intéresse

A vous de tout notre coeur. Maurice, Lina et, Nohant, 20 décembre 1868. Chère enfant,

Tout mon monde vous envoie des amitiés en masse. Maurice n'est pas encore revenu. Votre maman vous embrasse. Théophile Gautier. Nohant, 27 août 1863. Mes pauvres enfants! avoir tant travaillé et tant souffert pour rien! Mais non, ce n'est pas pour rien, puisque vous avez adouci ses derniers jours et prolongé, autant que possible, son illusion et son espérance.

Nohant, 7 novembre. J'y reviens

Bonsoir, cher enfant; je vous embrasse de coeur, ainsi que Désirée et Solange. Maurice vous embrasse aussi. Borie est en Belgique et m'écrit souvent. Nohant, 11 avril 1851.

Croyez bien, mademoiselle, que je suis reconnaissante et honorée de votre amitié et que je vous suis sincèrement et fidèlement dévouée. Nohant, 10 juin 1858. Mon enfant,

Je ne sais rien te dire de moi; sinon que j'étais malade de l'absence de mes enfants, que je suis ivre de revoir Maurice et impatiente de revoir Solange, que je t'aime comme un frère, et que, sous les belles étoiles de l'Italie, je n'ai pas passé un soir sans me rappeler nos promenades et nos entretiens sous le ciel de Nohant.