United States or Bahrain ? Vote for the TOP Country of the Week !


Nohant, 9 août 1847. Maintenant, mes enfants, je ne vous marquerai plus d'époque ni de jour pour venir. Cela nous a toujours porté malheur, et, quand vous pourrez venir, vous suivrez l'inspiration du moment, c'est-

Quelle manière de dire, hein? Comme la langue fléchit, se façonne, s'assouplit et se condense sous cette patte grandiose! Nohant, 12 mars 1869 Mourir, sans souffrance, en dormant, c'est la plus belle mort, et c'est celle de Calamatta. Apoplexie séreuse, et puis une maladie dont il n'a pas su la gravité et qui ne le faisait pas souffrir.

L'attentat me chagrine beaucoup: il va faire redoubler de rigueur contre une foule de gens qui n'y ont pas plus trempé que vous et moi. C'est ainsi que l'histoire humaine suit son cours toujours dans les mêmes errements et les mêmes fatalités. A vous de coeur. Vous avez reçu les épreuves, n'est-ce pas? Nohant, 18 février 1858.

Nohant, juillet 1818. Merci, mon amie; j'aurais été inquiète de vous si vous ne m'aviez pas écrit; car, au désastre général, on tremble, d'avoir

Vous ne savez pas, hérétique, ce que cela signifie? Je vous le dirai. Bonsoir. Merci de votre exactitude, merci du fond du coeur. Rien ne m'est si doux que de recevoir des nouvelles de ma chère famille. Soignez toujours mon Maurice. Adieu; ne m'écrivez plus, je pars incessamment. Domestique de la maison. Jument de selle de George Sand. Nohant, 29 décembre 1829 Ma chère petite maman,

Ne soyez pas inquiets de nous: nous nous portons tous bien, et nos petites incertitudes ont cessé. Les chers enfants ne veulent pas gouverner Nohant; ils ont un peu tort dans leur intérêt, ils y mettraient sans doute plus d'économie que moi. Mais ils y portent je ne sais quels scrupules qui sont bons et tendres. Je mets donc Nohant sur le pied d'absence, avec la facilité d'y revenir

Adieu, ma chère petite maman; traitez-moi toujours avec bonté. Je vous embrasse de tout mon coeur, ainsi que mon ami Pierret. Nohant, 26 septembre 1831 C'est une désolation qu'un voyage de sept jours; je m'en afflige de mille manières: d'abord, parce que cela vous fatigue; ensuite parce que ces quinze jours perdus de la plus ennuyeuse manière du monde doivent faire pleurer votre mère.

Nohant, 22 février 1862. Chère cousine, Ayez du courage pour ceux qui vous aiment! ayez-en plus que moi, qui veux pourtant en avoir et qui retombe

J'ai vu Carabiac et Lina partant pour Milan. Calamatta et sa fille. Nohant, 30 juin 1861. Cher enfant,

Et nous entendons ses sanglots, nous voyons couler ses larmes dans le Journal inédit s'épanche le débordement de sa folie d'amour. Il faudrait citer toutes ces pages cruellement éloquentes, et nous n'en pouvons retenir que les passages les plus douloureusement émus. Avant le départ pour Nohant, elle avait consigné sur son Journal ces lignes navrantes: «Je t'aime avec toute mon âme, et toi, tu n'as pas même d'amitié pour moi. Je t'ai écrit ce soir. Tu n'as pas voulu répondre