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La conclusion, c'est que tout ça m'est égal et que je vis dans une planète très gentille, toute en fleurs, en rêves, où j'ai souffert, pleuré, aimé et béni le bon Dieu, en somme; et où jamais on n'a entendu parler d'Académie ni de chagrins littéraires. Vous comprenez bien ça, vous, mon enfant. Nohant, 11 juin 1861. Chère cousine,
Tous vos malades sont des gens brillants de santé. Maurice engraisse visiblement, il prétend que vous l'avez trop guéri. Mais il mène une vie de cultivateur et de géologue si active, qu'il se défendra de l'alourdissement. On parle de vous sans cesse, et, si les oreilles ne vous tintent pas, c'est qu'il y a trop de gens partout qui vous louent et vous remercient. Nohant, 14 juillet 1870.
Nohant 22 avril 1853. SOUVENIR D'UNE VEILL
Nohant, 23 juin 1842. Mon cher Poncy, Je ne vous écris qu'un mot, en attendant que je puisse vous écrire davantage. J'ai, depuis six semaines, d'affreuses douleurs dans la tête, produites par l'effet de la lumière sur les yeux. J'ai une peine bien grande
Bonsoir, mon vieux. Je te bige. Pièce jouée au Gymnase, en 1854, sous le titre de Flaminio. Sans doute pour quelqu'une des souscriptions ouvertes par le journal le Mousquetaire. Directeur de l'Odéon. Homonyme d'un personnage dont il est question dans Mauprat. Nohant, 19 février 1854. Mon cher enfant,
Femme de chambre de madame Plessy. Nohant, 15 mars 1868. Chère fille,
Ce Breuillard était un inconnu de province qui avait publié contre George Sand un écrit diffamatoire. Nohant, 9 décembre 1858. Ma bonne, bonne fille,
Vous êtes la bonté et l'obligeance mêmes, mon cher ami. Je vous remercie de votre sollicitude pour Nohant et je ferai ce que vous conseillerez. Certes je crois qu'un garde est utile. Mais où en trouver un qui garde réellement? Quant
Nohant, 22 mai 1847 Frère et ami, Je n'ai reçu qu'il y a quinze jours le numéro du People's Journal qui contient deux articles dont je suis l'objet. Remerciez pour moi de sa bienveillance miss Jewsbury, signataire du premier, et laissez-moi vous dire que le vôtre m'a pénétrée d'un sentiment de bonheur. C'est qu'en effet il part de votre coeur.
Nohant; 8 février 1864. Mon brave et bon ami, J'ai fini ma grosse tâche, et, avant que j'en commence une autre, je viens causer avec vous. Qu'est-ce que nous disions? Si la liberté de droit et la liberté de fait pouvaient exister simultanément? Hélas! tout ce qu'il y a de beau et de bon pourra exister quand on le voudra; mais il faut d'abord que tous le comprennent, et le meilleur des gouvernements, de quelque nom qu'il s'appelle, sera celui qui enseignera aux hommes
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