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»C'est étrange; un véritable épicurien n'abandonnerait jamais son esprit

Phileas Fogg se contenta de répondre que cela n'était pas possible. Poursuivi pour cette affaire du sutty! Inadmissible! Comment les plaignants oseraient-ils se présenter? Il y avait méprise. Mr. Fogg ajouta que, dans tous les cas, il n'abandonnerait pas la jeune femme, et qu'il la conduirait

Pourquoi ne l'avait-il pas attendue: quelle raison impérieuse l'avait contraint de s'éloigner? Sans doute le jeune commandant avait croire que soeur Rosalie n'abandonnerait pas sa fille en pareille occurrence; cela justifiait son absence. Mais était-il allé? D'où vient qu'on ne lui avait rien dit sur ce point?

Il s'informait auprès de son ami, qui avait fait des études littéraires, de la façon dont il devait préparer son examen. Il comptait prendre un répétiteur pour corriger ses devoirs. Il n'abandonnerait pas l'obtention du baccalauréat ès-sciences, et il annonçait sa volonté, dès qu'il serait reçu, pour les Lettres, de livrer le second combat

Quentin fut aussi mortifié que surpris des suites de sa précipitation; mais il se consola par l'espoir que la dame au luth n'abandonnerait pas si facilement un instrument dont elle jouait si bien, et qu'elle ne serait pas assez cruelle pour se priver de l'air pur et du plaisir d'ouvrir sa croisée, dans l'intention peu généreuse de jouir seule des doux sons de sa voix: peut-être même qu'un peu de vanité personnelle vint se mêler

Et comme le comte faisait la sourde oreille déclarant qu'il n'abandonnerait pas Séléna dans l'état elle se trouvait. Partez, monsieur le comte, partez, fit le domestique... cet homme est capable de nous enfermer tous trois ici... et alors qui donc s'occuperait de faire remettre en liberté mon pauvre maître?

Peut-être aussi, se flattait-il encore que le tsar n'abandonnerait pas la coalition l'Autriche s'efforçait de le retenir. C'est le 13 novembre que l'ambassadeur autrichien en Russie, le comte de Cobenlz, avait fait connaître

Le moment était venu. Je l'embrassai. Je pris le bras de ma vieille bonne tante en pleurs, nous remontâmes sur le pont. Je pris congé de la pauvre mistress Micawber. Elle attendait toujours sa famille d'un air inquiet; et ses dernières paroles furent pour me dire qu'elle n'abandonnerait jamais M. Micawber.

Maintenant la foule se pressait, tout le peuple voulait voir brûler la sorcière. Une vieille haridelle traînait la charrette on l'avait assise vêtue d'une blouse de grosse toile, ses cheveux tombaient autour de son visage d'une mortelle pâleur, ses lèvres remuaient doucement tandis que ses doigts tordaient le lin vert. Même sur le chemin de la mort, elle n'abandonnerait pas l'oeuvre commencée, dix cottes de mailles étaient posées