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Onze heures et demie sonnaient, lorsqu'une voiture de remise, dont le malheureux cheval patinait sur la neige durcie, déboucha de l'avenue Marigny, traversa le Rond-Point, et se dirigea vers un hôtel qui se trouve environ

M. de Marigny revint de son voyage de Hollande: il croyoit ramener avec lui sa femme

L'expédition de MM. de Charette et Stofflet n'eut point lieu; ils coururent après M. de Marigny jusqu'

Le coupé se mit en mouvement, tourna l'angle de l'Elysée, descendit l'avenue Marigny et entra dans l'avenue Gabrielle. C'était le moment de l'éclaircie. Les nuages disjoints, poussés par le vent d'ouest, allaient en masses tumultueuses, mais la pluie avait cessé de tomber. Le maître et le paysan descendirent de voiture après avoir dépassé la grille du jardin de Chaves.

M. de Lescure, Henri de La Rochejaquelein et M. Forestier repartirent bientôt après pour Bressuire. M. de Lescure était empressé d'aller se réunir aux généraux et faire connaissance avec eux. Il fut convenu que mon père, MM. de Marigny et Desessarts, iraient aussi le lendemain joindre l'armée; ma mère et moi, les femmes et les vieillards, devions en même temps quitter Clisson pour aller nous établir au château de la Boulaye, qui appartenait

Viole avoit un frère abbé, ami de Lenet, très turbulent comme lui, comme lui (V. les lettres de Marigny dans le Cabinet historique, déc. 1854, p. 124) prompt

Ce n'était rien d'avoir pendu Marigny, emprisonné Raoul de Presles, ruiné Nogaret, comme ils firent plus tard. Le légiste était plus vivace que les barons ne supposaient. Marigny renaît

Au jour indiqué, M. de Marigny arrive au rendez-vous après une longue marche. On venait de distribuer des vivres aux soldats de MM. Stofflet et de Charette: il en demanda pour les siens; on ne lui en donna pas assez. Les gens de M. de Marigny, déj

Quelques jours après, M. de Marigny vint nous dire adieu. Voyant qu'il ne pouvait soulever le pays, il s'était déterminé

Peu d'années s'étaient écoulées, que le corps de Marigny fut respectueusement descendu de Montfaucon et reçut la sépulture chrétienne. Louis le Hutin légua dix mille livres aux fils de Marigny. Charles de Valois, dans sa dernière maladie, crut devoir, pour le bien de son âme, réhabiliter sa victime.