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Au fond du trou, je m'écriai: «Mon Dieu, prenez pitié de moi!»... Interpellé sur ma position, j'ai dit que j'étais tombé par accident, et un gardien a observé: «Ce monsieur doit être un Anglais, un fantaisiste...» Le 30 décembre.

Je m'écriai: "Encore trois jours! encore trois jours! ô Providence! ô Destin! ô Puissances

Aussi maintenant, je ne sais pas qui l'emporte dans mon âme, de ma haine ou de mon mépris pour lui... Ces derniers mots de madame de Richeville me semblaient si odieux, que, perdant toute mesure, je m'écriai: Pourtant lors de ce bal de l'ambassade... madame, vous ne pensiez pas ainsi!

Alors je m'écriai, dans ma douleur amère. donc est le bonheur? Serait-ce une chimère Qui redonne l'espoir

Je le lui ai dit, fit ma tante avec un signe de tête. Est-ce que vous... vous me remettriez entre ses mains? demandai-je en balbutiant. Je ne sais pas, dit ma tante: nous verrons. Oh! mon Dieu! qu'est-ce que je vais devenir, m'écriai je, s'il faut que je retourne chez M. Murdstone! Je n'en sais rien, dit ma tante, en secouant la tête, je n'en sais rien du tout; nous verrons

Tu le vois, je m'enferme dans la méditation; mais on ne m'a pas offert les occupations que tu indiques, peut-être j'eusse trouvé une excitation plus agréable. A dire vrai, dans la solitude je me désespérais. Dès que je le pus, je m'écriai: Servons la bonne cause et servons-nous nous-même. Mais comment se reconnaît la bonne cause? et jusqu'

A ce spectacle, je m'élançai, je m'écriai: Arrêtez, Jahel! Arrêtez, monsieur! Mais le séducteur n'en poussait que plus fort la perfide, dont la rondeur charmante disparut bientôt. Puis, s'apprêtant

Les tours du Nideck étaient loin, et Sperver avait pris l'avance, comme d'habitude, lorsque je m'écriai: «Halte, camarade! halte!... Avant de poursuivre notre route, délibéronsIl fit volte-face. «Dis-moi seulement, Fritz, s'il faut tourner

»Heureusement le manchot prit cette pâleur pour celle de la colère, car aussitôt je m'écriai furieux: Et moi, monsieur, je m'oppose

Ces réflexions s'accumulèrent dans mon sein au moment de quitter mes hôtes, et je m'écriai: «Adieu, dignes habitans d'une terre céleste; adieu, peuple vraiment chéri de Dieu: persistez dans votre sage sévérité, repoussez sans pitié le téméraire qui prétendroit violer votre asile. Vous vous livrez maintenant sans crainte aux désirs de la nature, réglés par la raison; vos chastes épouses ne connoissent d'autres plaisirs que leurs devoirs; vos filles modestes n'écoutent d'autre amant que celui qui doit être leur mari; vous n'avez ni maîtres, ni esclaves, et vous êtes exempts d'orgueil comme de bassesse. Tout seroit bouleversé si vous permettiez