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Mais la mort allait bientôt servir la haine de l'Autriche et des puissances alliées. Au commencement de l'année 1821, Napoléon se sentit perdu. «Je ne suis plus Napoléon! répétait-il douloureusement. Les monarques qui me persécutent peuvent se rassurer, je leur rendrai bientôt la sécurité!...» Son état empira très rapidement. «L'Angleterre, disait-il au docteur Arnott, réclame mon cadavre. Je ne veux pas la faire attendre et mourrai bien sans drogues. C'est votre ministère qui a choisi cet affreux rocher, se consume en moins de trois ans la vie des Européens, pour y achever la mienne par un assassinat. Et comment m'avez-vous traité, depuis que je suis sur cet écueil? Il n'y a pas une indignité, pas une horreur dont vous ne vous soyez fait une joie de m'abreuver. Les plus simples communications de famille, celles même qu'on n'a jamais interdites

Vous m'avez promis votre haute protection contre les insultes dont on ne cesse de m'abreuver chaque jour. Encore ce nom! fit mon oncle, effrayé. Que faire? Ce sont des insultes de toutes les heures...

S'il y avait eu près de moi une hache, et que ma prison eût été assez haute pour que je pusse m'en servir, comme j'aurais largement ouvert cette grande citerne pour m'abreuver de son contenu! Mais je n'avais pas de hache, pas d'instruments tranchants, et sans une bonne lame comment percer ou fendre ces douelles de chêne, aussi impénétrables pour moi que du fer?

Pourquoi faire? dit Henri, pour mentir, ou pour me dire du moins des choses que je sais aussi bien que vous? Mais non, vous mentiriez, mon frère; car l'aveu de ce que vous avez fait, ce serait l'aveu que vous méritez la mort. Vous mentiriez, et c'est une honte que je vous épargne. Mon frère, mon frère, dit François éperdu, est-ce bien votre intention de m'abreuver de pareils outrages?

C'était bien Sr Thérèse qui était venue me présenter le calice de ma passion! Depuis elle continue de m'abreuver divinement; chaque jour amène sa goutte d'amertume, goutte délicieuse puisque la chère sainte est l

J'aime moins sa femme, tante Germaine, qui se croit obligée de m'abreuver de nombreux sermons et dont l'esprit est quelque peu étroit; j'aime encore moins sa soeur, tante Bertrande, qui possède, amplifiés, les mêmes travers. Je tyrannise tant que je peux, leurs filles et nièces, mes cousines Blanche et Jeanne.

Est-ce de Gabrielle que ma mère parle ainsi?. Que se passe-t-il donc dans le sein de cette famille j'étais revenu, plein de confiance et de piété, chercher l'estime et le bonheur? Le bonheur! Pour le goûter, il faut le donner aux autres; et vous et votre femme ne faites que m'abreuver de chagrins.