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Cette fois-ci il suivait une petite allée, quand il aperçut la soeur du propriétaire actuel, Miss Wilhelmine Alexander. Lui-même a décrit le tableau et raconté la scène, dans une lettre qui indique bien les splendeurs et en même temps les délicatesses de sensations qui passaient dans cette tête, pêle-mêle avec des choses brutales ou grossières. C'est du reste un riche morceau de prose descriptive, et qui donne une idée de la façon dont ce paysan écrivait: «J'avais erré au hasard dans les lieux préférés de ma muse, les bords de l'Ayr, pour contempler la nature dans toute la gaîté de l'année

Communement la pluspart des arbres ayment le soleil de midy & avoir abry devers le vent d'aval qui leur est fort contraire/ & principallement aulx amandiers/ abricotz Meuriers/ figuiers/ & grenadiers. Aulcuns aultres arbres ayment l'ayr froict ce sont chastaigniers: cerisiers aigres coigniers: & pruniers. Les Noyers ayment bonne terre formentalle.

Puis-je oublier cette heure sacrée, Puis-je oublier ce bosquet sanctifié, , sur les bords de l'Ayr sinueux, nous nous rencontrâmes, Pour vivre un jour d'adieux et d'amour! L'éternité n'effacera pas La chère souvenance des transports passés, Ni ton image dans notre dernière étreinte, Ah! nous pensions peu que c'était la dernière!

«J'avais erré au hasard dans les lieux préférés de ma muse, sur les bords de l'Ayr, pour contempler la nature dans toute la gaîté de l'année

Adieu collines et vallons de la vieille Coila, Ses moors couverts de bruyère, ses vallées tortueuses, Les scènes ma malheureuse imagination erre, Poursuivant les amours passées et malheureuses! Adieu mes amis, adieu mes ennemis, Mon pardon aux uns, mon amour aux autres, Les larmes qui jaillissent trahissent mon coeur; Adieu les jolis bords de l'Ayr!

Il devait augmenter lui-même la liste de ces pèlerinages. Il est impossible maintenant de passer près des pentes de Ballochmyle, près de l'endroit l'Afton coule encore doucement, comme s'il se souvenait de la prière du poète, près des bords l'Ayr baise sa rive de gravier, près des cascades d'Aberfeldy, ou des bois de Craigie-Burn, sans aller, comme lui, rendre hommage

Couchées dans votre lit hibernal, ô fleurs, Vous fleurirez de nouveau fraîches et belles, Vous, oiselets, muets dans les bosquets dépouillés, Vous charmerez de nouveau l'air de vos voix; Mais ici, hélas, pour moi, jamais plus L'oiselet ne chantera ni la fleur ne sourira, Adieu les jolies rives de l'Ayr, Adieu, adieu, doux Ballochmyle!

La nuit ténébreuse s'épaissit rapidement, La rafale sauvage et inconstante rugit bruyamment, Ce nuage sombre est chargé de pluie, Je le vois passer sur la plaine; Le chasseur a quitté le moor, Les couvées éparpillées se retrouvent en sûreté, Tandis que j'erre ici, pressé de souci, Sur les bords solitaires de l'Ayr.

C'est dans les quelques milles compris entre la petite rivière de l'Ayr et le petit cours d'eau du Doon que s'écoulèrent les premières années de Robert Burns.

L'Ayr, murmurant, baisait sa rive caillouteuse, Sur lui se penchaient des bois sauvages, des verdures épaisses: Le bouleau parfumé et l'aubépine blanche S'enlaçaient amoureusement autour de cette scène de ravissement Les fleurs jaillissaient désireuses d'être pressées, Les oiseaux chantaient l'amour sur chaque rameau, Jusqu'