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Lorsque le dais se trouva au milieu de la place du Rosaire, l'abbé Judaine crut bien qu'il n'irait pas plus loin. Dans le vaste espace, il s'était formé plusieurs courants contraires, tourbillonnant, l'assaillant de toutes parts. Il dut s'arrêter, sous le dais balancé, flagellé comme une voile au large, par un brusque coup de vent. Il tenait le Saint-Sacrement très haut, de ses deux mains engourdies, avec la peur qu'une poussée dernière ne le renversât; car il sentait bien que l'ostensoir d'or, rayonnant de soleil, était la passion de tout ce peuple, le Dieu qu'on exigeait pour le baiser, pour se perdre en lui, quitte

Le «viens donc!», très employé par les agents de police japonais, apparaît d'une grande simplicité. L'assaillant jette son bras droit par-dessus le bras gauche de sa victime dont il saisit en même temps le poignet avec la main gauche. Au moment précis il effectue la prise, l'attaquant se saisit

Le coup d'arrêt est un des plus simples et des plus efficaces. L'assaillant jette brusquement son bras gauche autour de la ceinture de son adversaire en enfonçant ses doigts

Et il détacha un si rude coup de sa longue épée dans la direction de l'assaillant le plus proche, que si celui-ci, avec la légèreté d'un véritable fils d'

C'en est fait de l'assaillant, car déj

Habituellement, les tours de l'enceinte intérieure et même de l'enceinte extérieure interrompent les chemins de ronde; de sorte que si l'assaillant parvenait

Elle essaya de repousser le calicot mais vainement. Il la tenait avec une solidité massive d'éteau, lui brisait les bras et tordait rudement ses poignets, l'assaillant en silence et avec une sorte de rage, comme une brute. Et il lui parlait tout bas, en sifflant: Voyons, voyons, bébé, ne fais pas la bête... sois convenable... A-t-on jamais vu! En voil

Mais c'est aux angles saillants des places que l'on reconnut surtout la nécessité de disposer des défenses d'une grande valeur. Comme encore aujourd'hui, l'assaillant regardait un angle saillant comme plus facile d'accès qu'un front flanqué. Les armes de jet n'étant pas d'une grande portée jusqu'au moment de l'emploi du canon, les angles saillants ne pouvant être protégés par des défenses éloignées étaient faibles ; et lorsque l'assaillant avait pu se loger en A, il était complétement masqué pour les défenses rapprochées. Il fallait donc que les tours du coin, comme on les appelait généralement alors, fussent très-fortes par elles-mêmes. On les bâtissait sur une circonférence plus grande que les autres, on les tenait plus haute, on multipliait les obstacles

L'assaillant trouvait un premier obstacle formé d'une barrière de bois couverte d'un appentis. Cet obstacle détruit, supposant le plancher mobile enlevé, il avait

De tous temps la mine avait été en usage pour détruire des pans de murailles et faire brèche. Les mineurs, autant que le terrain le permettait toutefois, faisaient une tranchée en arrière du fossé, passaient au-dessous, arrivaient aux fondations, les sapaient et les étançonnaient au moyen de pièces de bois, puis ils mettaient le feu aux étançons, et la muraille tombait. L'assiégeant, pour se garantir contre ce travail souterrain, établissait ordinairement sur le revers du fossé des palissades ou une muraille continue, véritable chemin couvert qui protégeait les approches, et obligeait l'assaillant