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Les fumigations, en titillant les organes olfactifs et respiratoires de l'asphyxié, déterminèrent des contractions spasmodiques dont le résultat fut, au bout de peu de temps, le rétablissement de la respiration régulière.

La veille du dernier jour, 23 mars, vers 5 h. de l'après-midi, alors que toute la communauté se trouvait réunie au chœur pour l'oraison, étant seule avec la Sœur infirmière, je fus subitement prise de violentes suffocations. A la quatrième crise, qui fut la dernière, j'endurai toutes les angoisses de l'asphyxie. M'étant soulevée du lit par l'excès de la souffrance, j'étreignais la Sœur qui me soutenait dans ses bras, croyant, comme moi, que j'allais expirer. L'air me manquait absolument pour respirer. Lorsque je fus remise de cette terrible lutte, aussitôt que je pus parler, j'invitai la pauvre Sœur bien émotionnée

Dans le seul élément respirable pour elle, l'asphyxie lui vient aussi bien que dans cette eau non respirable elle vit.

On apprit bientôt, de la bouche même de Mme Zola, quelques particularités sur la nuit au cours de laquelle s'était produite la catastrophe. Zola, se sentant indisposé, sous l'oppression de l'asphyxie, s'était levé vers trois heures du matin, cherchant de l'air, voulant probablement ouvrir la fenêtre. Il était déj

Les caisses montent et descendent toujours, secouant les malheureux, dont l'un était venu chercher le bonheur dans Quiet-House. Aux lueurs étranges et sans cesse changeant de teintes, Netty court encore... L'asphyxie la saisit

Sa vie fut un problème, et il ne semblait pas que l'ébauche splendide, mais manquée, pût durer. L'amour furtif, si difficile, l'allaitement au roulis des tempêtes entre l'asphyxie et le naufrage, les deux grands actes de la vie presque impossibles, se faisant par effort et par volonté héroïques! Quelles conditions d'existence! La mère n'a jamais qu'un petit, et c'est beaucoup.

Il me semblait qu'on n'aurait pas dit cela pour une mourante; que, si ce bon effet devait durer, c'est qu'on pouvait quelque chose sur sa vie. Le sifflement de l'oxygène cessa pendant quelques instants. Mais la plainte heureuse de la respiration jaillissait toujours, légère, tourmentée, inachevée, sans cesse recommençante. Par moments, il semblait que tout fût fini, le souffle s'arrêtait, soit par ces mêmes changements d'octaves qu'il y a dans la respiration d'un dormeur, soit par une intermittence naturelle, un effet de l'anesthésie, le progrès de l'asphyxie, quelque défaillance du coeur. Le médecin reprit le pouls de ma grand'mère, mais déj

La visite eut lieu. Ce fut une campagne redoutable; une bataille nocturne contre la peste et l'asphyxie. Ce fut en même temps un voyage de découvertes. Un des survivants de cette exploration, ouvrier intelligent, très jeune alors, en racontait encore il y a quelques années les curieux détails que Bruneseau crut devoir omettre dans son rapport au préfet de police, comme indignes du style administratif. Les procédés désinfectants étaient

Comme on le tenait pour très savant en toutes choses, l'avocat de l'accusée le pria de donner quelques explications sur cet abominable empoisonnement par l'asphyxie instantanée. Il ne se fit point prier. Il rappela que depuis le seizième siècle, si on n'avait plus le secret du poison des Médicis, il n'était pas douteux pour lui qu'un chimiste ne pût le retrouver avec la noix vomique, la ciguë et l'acide prussique. Il conta que beaucoup d'expériences avaient été faites par Magendie et Cabarrus sur des chiens, qui n'avaient pas eu le temps de respirer, tant la mort les foudroyait. Pour M. de Parisis, le bouquet n'en était pas moins un prodige; puisqu'il avait été cueilli

Bah! qui donc? lâcha le policier surpris. Mais au lieu de répondre, le général prononça vivement: Enfin!!! Son exclamation était motivée par la vue d'une quinzaine d'hommes, qui, Cardeuc et Taugencel en tête, sortaient de la serre. Soit que l'asphyxie les chassât de leur refuge, soit que le calme des alentours les eût rassurés, il se risquaient