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Elle se ferait mieux sans violence; mais, qu'on lutte ou non contre la violence, elle est fatale, elle aura son jour. Laissons passer. Tu nous annonces la mort de Victor-Emmanuel. Les journaux ne l'annoncent pas encore. Ce serait un malheur. Ses fils, dit-on, ne le valent pas, et l'Italie n'est pas prête

SECOND BOURGEOIS. Leurs petites couronnes l'annoncent. Ce sont des étoiles et quelquefois des étoiles tombantes. PREMIER BOURGEOIS. Laissons cela. TROISIÈME BOURGEOIS. Parmi la foule, dans l'abbaye; on n'y aurait pas glissé un doigt de plus: je suis suffoqué des épaisses exhalaisons de leur joie. SECOND BOURGEOIS. Vous avez donc vu la cérémonie? TROISIÈME BOURGEOIS. Oui, je l'ai vue.

L'atmosphère était immobile et muette: il semblait que tout ce qu'il y avait de mouvement et de vie dans la nature, que le vent même fût atteint, enchaîné, et comme glacé par une mort universelle. Alors plus de paroles, aucun murmure, un morne silence, celui du désespoir et les larmes qui l'annoncent.

»Au reste, il n'y a de difficultés sérieuses que pour Maëstricht et Venloo; car si, comme les Belges l'annoncent, ils étaient possesseurs avant 1790 des cinq sixièmes du Limbourg, et si cinquante-quatre communes disséminées dans cette province seulement appartenaient

Ces souvenirs et toutes les conjectures épuisées, on retombait dans un plus triste silence, quand soudain l'on entendit les pas de quelques chevaux, puis ce cri de joie: «Le maréchal Ney est sauvé, il reparaît, voici des cavaliers polonais qui l'annoncentEn effet, un de ses officiers accourait; il apprit que le maréchal s'avançait par la rive droite du Borysthène, et qu'il demandait du secours.

«Dans le cas l'armée ennemie n'aurait pas fait de mouvement en avant de la Moselle comme des rapports l'annoncent, ou si ce mouvement n'a pas en lieu d'ici

ISABELLE. Paix et félicité! Qui est-ce qui appelle? LUCIO. Salut, vierge, si vous l'êtes, comme ces joues l'annoncent assez. Pouvez-vous me rendre le service de me faire parler

Ce qui réjouit par-dessus tout la bonne Christine, c'est que le salut vienne d'une femme. Elle en est tout heureuse, sans en être le moins du monde surprise, car elle avait toujours mis très haut l'honneur de son sexe et s'était montrée toute sa vie fort entêtée des privilèges que l'esprit chevaleresque accordait aux dames. Pour elle, comme pour beaucoup d'âmes de son temps, une dame honnête, une jeune fille pure peut devenir, par la volonté de Dieu, supérieure au mal, plus forte que les archers et les murailles des villes. Les exemples d'une telle vocation ne lui manquent pas. Nourrie dans les lettres sacrées et dans les lettres profanes, elle connaît les femmes fortes de la Bible, les sibylles de Rome et de Cumes, les amazones et les preuses. Elle met Jeanne la bergère au-dessus de toutes ces héroïnes qui l'annoncent et la préparent. Elle attend d'elle la délivrance du royaume, la résurrection de ce grand peuple plus malheureux qu'un chien. (Tout ce grand peuple chenin par femme est sours.) Mais, chrétienne en même temps que Française, elle ne borne pas

Du haut en bas de la bâtisse, des corridors, des chambres, des escaliers, des salles et des cuisines, le cri de la France salue sa vigueur. Les dragons trouvent drôle de jeter ainsi la semence de la race au sein des vaincues! Ils se l'annoncent, plus victorieux qu'après la mort des hommes.