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«N'est-ce pas plutôt une sorte de toucher de l'amour, du mystérieux amour qui cherche sans cesse

Garde bien mes lettres, Ernest, je t'en conjure; un jour peut-être, au bord de nos solitaires étangs ou sur nos froids rochers, nous les relirons, si toutefois ton ami se sauve du naufrage qui le menace, si l'amour ne le consume, comme le soleil dévore ici la plante qui brilla un matin. Hier encore une chose assez simple en elle-même me montra sa confiance.

C'est le péché, c'est le mal, elle et ce qu'elle inspire, l'amour! Sa beauté est une épreuve, son esprit un piège, sa sensibilité un maléfice. Tous les dons enviables de la généreuse, de la poétique, de l'artiste nature deviennent dans le christianisme des dons mauvais. N'est-ce pas, Jean?

« J'entends, et l'absence est l'ennemie de l'amour, allez-vous dire. Ah! Monvel, Monvel, vous ne savez pas aimer! « C'est vrai, Sire; mais en toutes choses n'est-il pas écrit que le roi de Suède sera mon maître? « Voil

Cette île est toute pleine des monumens de la fureur de l'Amour.

En aucun lieu du monde on n'est enveloppé autant qu'ici de la froide austérité luthérienne. «Il y a en Norvège, dit Bjornson , plus de Thorbjoern que de ArneLes allures libres d'Ibsen, son caractère toujours en révolte lui valurent beaucoup d'ennemis. Sa pièce la Comédie de l'Amour qui fut représentée en 1863 fit un tapage considérable.

On les empêche de se voir, ils ne peuvent s'écrire; ils trouvent une foule de moyens mystérieux de correspondre. Ils s'envoient le chant des oiseaux, le parfum des fleurs, le rire des enfants, la lumière du soleil, les soupirs du vent, les rayons des étoiles, toute la création. Et pourquoi non? Toutes les oeuvres de Dieu sont faites pour servir l'amour.

Et le temps aussi est venu pour vous de chercher et de décrire dans l'amour autre chose que le côté pittoresque et sensuel. Essayez, par exemple, d'extérioriser aujourd'hui votre coeur jusqu'

Pourtant, depuis trois mois qu'il connaissait Rosine, Ceux qui voyaient Stello le trouvaient bien changé. Il avait doucement senti dans sa poitrine Grandir un sentiment qui l'avait dominé. Ce n'était plus alors cet enfant débauché Que les fous de son bord se vantaient de connaître; Ce n'était pas non plus, tant l'amour nous pénètre! Le Stello d'autrefois incrédule et lassé. Tout le monde savait qu'il aimait la comtesse. Aussi bien savait-on,

«Oh! ne me défends pas de jeter, dans les cieux Et les enfers, le cri de l'amour factieux; Laisse-moi prodiguer