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«Si j'avais assez de forces, j'attaquerais l'ennemi, et, si Votre Excellence peut disposer de quelques forces, je l'obligerai ou de rentrer dans le Tyrol, ou le pousserai entre deux feux.» «OEdenbourg, le 6 juin 1809.
J'ai dit que les corps du maréchal Ney et de Reynier se trouvaient l'avant-veille de la bataille au pied de la montagne d'Alcoba, en présence de l'ennemi. Ces deux généraux, attendant avec impatience le généralissime, se communiquaient par écrit leurs observations respectives sur la position de l'armée anglo-portugaise. Or, il existe une lettre datée du 26 septembre au matin, dans laquelle le maréchal Ney disait au général Reynier: «Si j'avais le commandement, j'attaquerais sans hésiter un instant!» Ils exprimaient l'un et l'autre le même sentiment dans leur correspondance avec Masséna: «Cette position est loin d'être aussi formidable qu'elle le paraît, et si je n'eusse été aussi subordonné, je l'aurais enlevée sans attendre vos ordres.» Les généraux Reynier et Junot ayant assuré que rien n'était plus facile, Masséna, s'en rapportant
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