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Un moment elle a tiré l'oeillet de sa poitrine, l'a longuement senti de ses narines ouvertes, puis me l'a passé, comme une chose qu'elle aurait presque baisée, et m'a dit: «Sentez, j'adore cette odeur. Dans le temps je faisais des fleurs artificielles, vous savez, pour les églises, je mettais toujours un clou de girofle dans mes oeillets

Non, non! j'aime... j'adore les fleurs; ainsi je comprends toutes les folies qu'elles font faire ou qu'elles inspirent. Eh bien! je lui étais reconnaissante,

Comment! ça vous contrarie qu'on vous amène les enfants, vous qui dites toujours qu'une mère ne doit pas les quitter? Vous ne les aimez donc pas? J'adore les enfants bien élevés, et j'ai reconnu la voix de celui-ci; vous allez voir!

Je ne veux te rien cacher, Delphine; en te faisant connoître tous les sacrifices que je te demande, je n'effraierai point ton coeur généreux. Notre union, quels que soient mes soins pour honorer et respecter ce que j'adore, nuira plus

... Aben-Hamet n'était plus ni assez infortuné, ni assez heureux pour bien goûter le charme de la solitude: il parcourait avec distraction et indifférence ces bords enchantés. Qui me dira pourquoi j'adore cela?

Que regardes-tu? Ta main!... ta main que j'adore! Et vous n'y remarquez rien de nouveau

Le voici: par vos mains cueillie, Mon destin seroit des plus doux; Je n'aurois qu'un seul jour de vie, Mais je ne vivrois que pour vous. Un poëte anacréontique du dix-neuvième siècle, non moins grand admirateur de cette belle portion des charmes du sexe qui fait tourner la tête au nôtre, exprime ainsi le même souhait, d'être changé en rose : AIR: Je vais quitter ce que j'adore.

Eh bien, vous aviez trop de confiance en moi, vous tous, j'aime la fille d'un athée, j'adore une femme sans Dieu... Ah! mon fils, qu'as-tu fait? s'écrie la mère, avec un cri d'effroi.

O trois-fois Tout-puissant, ô grand Dieu que j'adore Ores que ton Soleil envoye son Aurore Sur cette terre ici, ne vueille plus tarder, Vueilles d'un oeil piteux ce peuple regarder, Qui languit attendant ta parfaite lumiere Trop prolongeant, helas! sa divine carriere.

Fausta fait de moi un homme, puisqu'elle me fait époux en me rendant celle que j'adore, puisqu'elle me fait père en me rendant ma fille!... Votre fille! prononça Rovenni, d'une voix si glaciale que Farnèse en frissonna. Sans doute!... J'ai la parole de la Souveraine... La parole de la Souveraine!... tu crois en Fausta et en sa parole sacrée!... Eh bien, écoute!...