United States or Saint Pierre and Miquelon ? Vote for the TOP Country of the Week !


Vous l'êtes si adorablement dans d'autres, que j'en bénis le ciel et que je vous en bénis. Et le galant cardinal ponctua cette galanterie par un baiser. Voyons, ne parlons plus de toutes ces choses-l

Ah! ciel, puissiez-vous ne pas vous tromper! s'écria M. d'Overburg avec joie. Et cet heureux moyen?

Un silence effrayant sortait des tas de cadavres; puis, par instants, des plaintes sourdes qui traversaient ce silence, lui donnaient un long frisson. A l'horizon, sur les coteaux, de minces nuages de fumée traînaient, tachaient seuls de gris le bleu éclatant du ciel. La tuerie continuait sur les hauteurs.

Au-dessus de Meudon, un haut de ciel, auréolé de grands rayons blancs, semblable

...Priez un peu pour moi, non pas pour que le Ciel m'épargne, mais pour qu'il me fasse fort au moment du combat et

Moi, grand Dieu! le ciel m'en préserve! Je vous tiens pour un oncle véritable, et, de plus, pour le meilleur des oncles. Croyez-moi, venez aux Champs-

Malheureux, qui, toujours embarrassés des choses de la terre, n'avez jamais regardé d'un oeil fixe celles du ciel, et qui révérez la condition des mollaks, sans oser ni l'embrasser ni la suivre!

On admire les fleurs de serre Qui loin de leur soleil natal, Comme des joyaux mis sous verre, Brillent sous un ciel de cristal. Sans que les brises les effleurent De leurs baisers mystérieux, Elles naissent, vivent et meurent Devant le regard curieux. A l'abri de murs diaphanes, De leur sein ouvrant le trésor, Comme de belles courtisanes, Elles se vendent

En vain les vitres glauques des vieilles maisons Sont un rempart de verre humble qui s'interpose Entre la vie en fièvre et la calme âme enclose, Elles n'ont qu'embrumé l'appel des horizons. Le lointain ciel sans cesse y passe et les aère Du prestige de ses beaux voyages tentants; Et les nuages qui sont les robes du temps Se reposent parmi ces armoires de verre.

À toutes les heures, par tous les temps, la Cité se leva devant lui, entre les deux trouées du fleuve. Sous une tombée de neige tardive, il la vit fourrée d'hermine, au-dessus de l'eau couleur de boue, se détachant sur un ciel d'ardoise claire. Il la vit, aux premiers soleils, s'essuyer de l'hiver, retrouver une enfance, avec les pousses vertes des grands arbres du terre-plein. Il la vit, un jour de fin brouillard, se reculer, s'évaporer, légère et tremblante comme un palais des songes. Puis, ce furent des pluies battantes qui la submergeaient, la cachaient derrière l'immense rideau tiré du ciel