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C'était en automne, par un soir humide. Quand ma bonne fut partie, après mon dîner, je me demandai ce que j'allais faire. Je marchai quelque temps

Ce qui n'a pas disparu, la demeure n'étant pas la même, ce sont les Ammophiles, que je vois voleter, l'une au printemps, les autres en automne, sur les allées du jardin et parmi les gazons,

La forêt, en automne, est encore garnie de tout son feuillage. Les feuilles ressemblent

À Naples, madame Récamier se rendit en automne , cessèrent les occupations de la solitude. À peine fut-elle descendue

La famille Rostow revint en automne de la campagne. Denissow reparut également bientôt après, et s'installa chez eux. Ces premiers mois de l'hiver de 1800

Depuis plus de dix ans, Octave n'avait pas remis les pieds au château de Parisis, par un sentiment plus filial que familial; ses amis lui parlaient en automne de belles chasses du château de Parisis, mais il ne voulait pas s'amuser près de la sépulture dormaient les deux figures, toujours aimées, de son père et de sa mère. A Paris, dans son hôtel, quand il s'arrêtait un instant devant leurs portraits, il jurait d'aller s'agenouiller pieusement sur leur tombeau, mais le courant de la vie, un torrent pour lui, l'entraînait

Nous refîmes longtemps, les uns et les autres, le même chemin après la fonte des neiges et jusqu'en automne, oubliant pendant l'hiver une bonne partie de ce que nous avions appris pendant l'été. J'en retenais, moi, plus qu'eux pourtant, parce que ma mère Hasna me faisait répéter les leçons du thaleb et réciter avec elle les versets du Coran. Mais j'arrive tout de suite

En automne, est mort Antoine Rubinstein. Les funérailles furent très imposantes. Le cercueil fut placé

Nous étions tout ensemble assouvis et avides; L'insidieux automne avait sur nous lâché Ses tourbillons de songe et ses buis arrachés... O sublime, languide, âpre mélancolie Des beaux soirs l'esprit, indomptable et captif, Veut s'enfuir et ne peut, et rêve

Au printemps, après la débâcle des glaces, et en automne, lorsque les nouvelles couvées sont en état de voler et partent pour les pays chauds, on est troublé dans son sommeil par les cris des oies, des canards, des cygnes, des grues, des cigognes et d'une foule de petits oiseaux. Pendant bien des années j'ai fait une si rude guerre aux bêtes fauves, que peu d'hommes en ont tué plus que moi.