United States or Gabon ? Vote for the TOP Country of the Week !


En même temps qu'ils déployaient ces qualités physiques, les Wagddis montraient une extraordinaire justesse de coup d'oeil. Lorsqu'ils se livraient

Quoi qu'il en soit, les Wagddis se rapprochaient de l'homme, non seulement parce qu'ils ressentaient les effets de la musique, mais parce qu'ils mettaient eux-mêmes cet art en pratique. Deux heures se passèrent ainsi,

Mais alors des torches s'allumèrent de toutes parts, et de toutes parts accoururent un grand nombre de ces Wagddis qui erraient aux environs du village. Cris de colère, cris de menace furent appuyés d'une nuée de flèches. «Allons, dit John Cort, il le fautMax Huber et lui épaulèrent leurs carabines, tandis que Khamis et Llanga manoeuvraient pour écarter le canot de la berge.

Construite de la main des Wagddis, cette installation dénotait un art supérieur

La foule était assez compacte. Au moins un millier de Wagddis se dirigeaient maintenant vers la partie de Ngala

Non! cette abomination, les Wagddis n'en ressentaient pas toute l'horreur!... Ils acceptaient cette criminelle substitution d'un mode

Tandis que déambulait le groupe des étrangers, les Wagddis, hommes, femmes, enfants, les regardaient sans manifester aucune surprise. Ils échangeaient entre eux divers propos, d'une voix rauque, phrases brèves prononcées précipitamment et mots inintelligibles. Toutefois, le foreloper crut entendre quelques expressions de la langue congolaise, et il ne fallait pas s'en étonner, puisque Li-Maï s'était plusieurs fois servi du mot «ngora». Cela pourtant semblait inexplicable. Mais, ce qui l'était bien davantage, c'est que John Cort fut frappé par la répétition de deux ou trois mots allemands, entre autres celui de «vater «, et il fit connaître cette particularité

Et par les grimaces, ajouta Max Huber, et c'est ce qui rattache ces êtres bizarres aux quadrumanesEn effet, les Wagddis, d'ordinaire sérieux, réservés, peu communicatifs, ne s'étaient jamais montrés si expansifs ni si grimaçants.

Une double détonation retentit. Deux Wagddis furent atteints, et la foule hurlante se dissipa. En ce moment, le canot fut saisi par le courant, et il disparut en aval sous le couvert d'une rangée de grands arbres.

Llanga n'était-il pas adopté par eux, et le foreloper n'avait-il pas été leur dévoué guide pendant cet aventureux voyage?... Et le docteur Johausen?... Et ce village aérien de Ngala, perdu sous les massifs de la grande forêt?... Eh bien, tôt ou tard une expédition devra prendre avec ces étranges Wagddis un contact plus intime, dans l'intérêt de la science anthropologique moderne.