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Vêtir. On conjugue mal ce verbe. On ne doit pas dire, je vêtis, tu vêtis, il vêtit, nous vêtissons, vous vêtissez, ils vêtissent; dites, je vêts, tu vêts, il vêt, nous vêtons, vous vêtez, ils vêtent; je vêtois; que je vête; que je vêtisse. Le premier e est ouvert et marqué d'un accent circonflexe, ainsi que dans revêtir qui est son composé.
Je puis supporter sans dégoût la vue d'une paysanne. Ce morceau de toile grossière qui couvre sa tête; cette chevelure qui tombe éparse sur ses joues; ces haillons troués qui la vêtissent [sic]
A la Nouvelle-Hollande, la parure d'une belle Malaie consiste toute en sa peau, étrangement bariolée de piqûres de diverses couleurs, et c'est ce qu'on appelle tatouage; toutes ont soin d'assouplir leur peau par le bain et par l'huile de coco; elles se vêtissent de tissus de feuillage ou d'écorces légères qui ne dérobent point la vue de leurs charmes secrets.
Les Chinouks vivent en famille dans de grandes huttes d'écorce de cèdre, où les lits sont disposés comme les cadres dans les cabines d'un navire. Ils ne se vêtissent guère qu'en hiver; alors ils portent un manteau de peaux de rats musqués ou de veau marin. Mais, quand la saison est rigoureuse, elles se couvrent d'une tunique faite avec des peaux de cygnes ou d'oies sauvages.
Patience! patience! lui dis-je; les apôtres sont en route; ils vont par divers chemins et par petites troupes. Ils s'appellent de différents noms et se vêtissent de diverses couleurs.
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