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HISTOIRE DU VIZIR PUNI. «Il était autrefois un roi, poursuivit-il, qui avait un fils qui aimait passionnément la chasse. Il lui permettait de prendre souvent ce divertissement; mais il avait donné ordre

«La joie du beau-père fut comblée le lendemain lorsqu'il vit son gendre présider au conseil en sa place, et faire toutes les fonctions de grand vizir. Noureddin Ali s'en acquitta si bien qu'il semblait avoir, toute sa vie, exercé cette charge. Il continua dans la suite d'assister au conseil toutes les fois que les infirmités de la vieillesse ne permirent pas

«Lorsqu'il n'y eut plus personne que les gens de la maison, le grand vizir chargea ceux qui avaient soin du bain qu'il avait commandé de tenir prêt, d'y conduire Noureddin Ali, qui y trouva du linge qui n'avait point encore servi, d'une finesse et d'une propreté qui faisaient plaisir

Traversons l'époque la plus triste de l'histoire du Monténégro, celle pendant laquelle, abandonné par Venise, il subit les épouvantables ravages des armées du vizir Kiouprili, pour arriver a l'année 1568, une grande victoire le délivra des Turcs. A cette époque commence la lutte entre l'Autriche et la Russie pour dominer le gouvernement du Monténégro, lutte dans laquelle la conformité de religion a toujours donné de grands avantages

Murad, le vizir, s'en va

«Tenez, mon ami, dit-il en tirant un papier de sa poche, voici la preuveAlbert ouvrit le papier; c'était une attestation de quatre habitants notables de Janina, constatant que le colonel Fernand Mondego, colonel instructeur au service du vizir Ali-Tebelin, avait livré le château de Janina moyennant deux mille bourses. Les signatures étaient légalisées par le consul.

Le grand vizir dit plusieurs choses au sultan, pour tâcher de le détourner de son dessein; il lui représenta le danger auquel il s'exposait, et la peine qu'il allait prendre peut-être inutilement. Mais il eut beau épuiser son éloquence, le sultan ne quitta point sa résolution et se prépara

Le vizir obéit, et le calife lui ayant demandé était le meurtrier: «Commandeur des croyants, lui répondit-il les larmes aux yeux, je n'ai trouvé personne qui ait pu m'en donner la moindre nouvelleLe calife lui fit des reproches remplis d'emportement et de fureur, et commanda qu'on le pendît devant la porte du palais, lui et quarante des Barmécides .

Le sultan, qui ne pouvait disconvenir de ce que le grand vizir lui représentait, entra dans une colère d'autant plus grande qu'il ne pouvait désavouer son incrédulité. est, dit-il, cet imposteur, ce scélérat, que je lui fasse couper la tête? Sire, reprit le grand vizir, il y a quelques jours qu'il est venu prendre congé de Votre Majesté: il faut lui envoyer demander est son palais; il ne doit pas l'ignorer. Ce serait le traiter avec trop d'indulgence, repartit le sultan; va donner ordre

Quoique le calife eût prononcé ces paroles très-distinctement et que les trois dames les eussent entendues, le vizir Giafar, par un air de cérémonie, ne laissa pas de les leur répéter...