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Il s'est trouvé, dans ma paroisse, un paroissien assez éhonté... assez charnel... pour se promener, tout nu, sur mon église?... Mais, c'est incroyable!... Ah! ah! ah!... Son visage s'empourprait de colère; sa gorge contractée râpait les mots. Tout nu, sur mon église?... Oh!... Mais, dans quel siècle vivons-nous?... Et que faisait-il, tout nu, sur mon église?... Il forniquait, peut-être?... Il...

Crois-tu que Dieu nous entende, qu'il exauce nos prières, qu'il fasse des miracles? Non, dit André, les lois de la nature sont immuables. Mais alors, pourquoi vivons-nous? Nous vivons, c'est assez: le mot du mystère nous échappe, mais une intelligence moyenne, mise en présence de la nature et des hommes, peut comprendre que nous avons un devoir

Ah! monsieur Barbier, s'écrie M. Beaudrain, quelle imprudence! Si les Prussiens vous avaient entendu! Ne recommencez pas, c'est moi qui vous en conjure! Ne pas recommencer! dit Mme Arnal indignée. Laisser passer sans protester de pareilles ignominies! Des choses semblables! Des... des monstruosités... Dans quel siècle vivons-nous?... C'est infâme! dit ma soeur.

Combien vivons-nous peu, les uns et les autres!... Taine, avec son coucher

Dans quel temps vivons-nous! [Ah! monsieur, notre pauvre ami est bien

Et s'il eut raison de refuser l'obéissance, comment vivons-nous sous des lois que nous trouvons raisonnables de donner la mort

C'est ce qu'il y aura de plus facile, tante; et nous ne changerons guère d'existence. Comment vivons-nous depuis deux ans ici? De la façon la plus misérable. Nous sommes, tous les quatre, perdus dans ce grand château froid et silencieux. Nous nous y cherchons tristement. Or, la pauvreté est cent fois plus pénible dans une demeure faite pour le luxe, que dans une modeste maison. C'est

En quels temps vivons-nous!... Et je vais vous expliquer comment je me trouve ici. Mais veuillez d'abord entrer... Les deux Pardaillan obéirent, et Ramus leur fit descendre un escalier. Ils se trouvèrent alors dans une belle salle

Dès lors, c'est un reproche sans prise de dire que cette critique est changeante et variable. Elle repose sur le sable mouvant de l'esprit humain, non sur un roc. Mais si elle n'est pas absolue, elle est nécessaire. Elle est un aliment. Elle se modifie comme le blé qui nous nourrit, l'air que nous respirons, les fleurs dont la fragilité nous enchante et l'astre souverain qui nourrit tout cela et nous-mêmes. Ne vivons-nous pas au milieu de choses mobiles? Au moyen d'elles, n'atteignons-nous pas la plénitude de notre être, et quelques-uns des hommes n'accomplissent-ils pas la beauté suprême dont la race est actuellement capable? Le vrai lui-même ne dérive-t-il pas? Il nous semble stable parce que nous sommes très brefs dans une de ces longues habitudes de la nature que nous prenons pour l'éternité. Encore qu'il en puisse coûter

Vous l'aimez!... reprit-il d'une voix éclatante, et vous avez l'audace de me l'avouer! En quel temps vivons-nous!... Pauvres pères!... Nous dormons sur la foi des traditions d'honneur de nos ancêtres, et nos filles en profitent pour négocier des mariages avec le premier jeune fat qui les a séduites en conduisant un cotillon avec grâce. Nos filles veulent faire