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«Vous vivez dans un siècle la lumière naturelle est plus vive qu'elle n'a jamais été, la philosophie a éclairé les esprits, la morale de votre Evangile a été plus connue, les droits respectifs des hommes les uns sur les autres, l'empire qu'une conscience a sur une autre conscience, sont mieux établis. Si donc vous ne revenez pas de vos anciens préjugés, qui, si vous n'y prenez garde, sont vos passions, il faut avouer que vous êtes incorrigibles, incapables de toute lumière et de toute instruction; et une nation est bien malheureuse, qui donne de l'autorité

Je l'ai été, une seconde m'a rachetéSi bas que vous soyez, tant que vous vivez, l'espérance est l

Ne quittez pas le lieu vous êtes, la retraite inconnue vous vivez; ne venez pas près de moi

L'Ingénu répondit: Mon oncle, grand bien vous fasse! vivez tant que vous pourrez. Je ne sais pas ce que c'est que d'être sous-diacre ni que de résigner; mais tout me sera bon pourvu que j'aie mademoiselle de Saint-Yves

Que voulez-vous qu'on pense, fit-il, que vous importe l'opinion?... Et après une pause: Pour vous-même, ma pauvre enfant, prononça-t-il, sortir d'ici vous vivez enfermée est indispensable... ce vous sera un bienfait, de vous retrouver au grand air, libre, seule...

Enfin, ne recevant pas de réponse de Pellisson, mademoiselle de Scudéry lui adresse une troisième lettre le 7 septembre, deux jours après son arrestation: «Voici la troisième fois que je vous écris, sans avoir entendu de vos nouvelles depuis mon départ des Pressoirs. Il me semble pourtant que vous pouviez m'écrire un pauvre petit billet de deux lignes seulement pour me tirer de l'inquiétude votre silence me met; car enfin il y a douze jours que vous êtes parti. Je ne vous demande point de longue lettre; je ne veux qu'un mot qui me dise comment vous vous portez. Car, pour peu que je sache que vous vivez, je présupposerai que vous m'aimez toujours, et qu'il vous souvient de moi autant que je me souviens de vous. J'aurais quatre mille choses

O défenseurs de nos droits politiques, Fiers rejetons d'un peuple valeureux, Vous qui dictez les lois patriotiques, Vivez longtemps, surtout vivez heureux! Rouges ou bleus qu'importe la nuance, N'êtes-vous pas de nos droits les gardiens? Or moi je dis avec indépendance: Soyez bénis de tous les Canadiens!

«Adieu, mes chers enfants; en vous quittant votre magistrat vous fait une dernière recommandation: «Vivez dans la crainte de Dieu et le respect du roi. J'ai dit

Ah! vous qui jamais n'avez quitté le sol reposent les ossements de vos aïeux, vous qui méconnaissez vos trésors de tendresse pour ce sol dont parfois vous parlez dédaigneusement, vous tous qui vivez dans votre patrie, faites des voeux afin que la destinée ne vous ravisse point cette bonne mère, si belle, si riche, si généreuse, si indulgente pour ses enfants!

avez-vous l'esprit, avez-vous le coeur, vous qui, comme moi, depuis tantôt vingt-cinq ans, faites de l'art, et vivez en artiste, de fulminer toutes ces imprécations contre le poète, le peintre, le musicien, le comédien, contre tous les amants de l'idéal? Titre primitif de Maître Favilla. Nohant, 21 novembre 1855. Ma belle mignonne,