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L'hiver était venu. Nous étions harassés et désespérés. On se battait maintenant tous les jours. Les hommes affamés ne marchaient plus. Seuls les huit turcos (trois avaient été tués) demeuraient gras et luisants, et vigoureux, toujours prêts

Et les turcos! s'écrie Lycopode en pleurant. Il y a un mystère la-dessous, voyez-vous, Monsieur Jean! Comment expliquer des choses pareilles?

La ville reposait sous la garde d'une section de turcos qu'on réveilla prestement et sans bruit pour qu'ils se tinssent prêts, fusils chargés et sac au dos. Des hommes de corvée épointèrent rapidement le manche de longs piquets de tente, qu'ils enfoncèrent en un triple cercle autour de la fontaine, et sur ces piquets on planta les têtes.

Elève d'Yvon et de Delaunay, le jeune artiste s'était signalé par quelques tableaux militaires lorsque éclata la guerre de 1870-71. Après s'être battu vaillamment, avoir été blessé et fait prisonnier, il reprit les pinceaux, la paix signée, et donna une série de toiles revivaient dramatiquement ses souvenirs de l'année terrible: les Turcos

[Note 537: De futuris Christianorum triumphis in Turcos et Saracenos, ad Xystum IV et omnes principes Christianos, Gênes, 1480, in-4°. Cet ouvrage est divisé en trois parties, dont la troisième n'est qu'une récapitulation du premier traité. Les deux autres contiennent des applications de l'Apocalypse

Et ces pauvres diables de turcos, donnant leur peau pour les Français, que leurs pères ont combattus, disent alors avec un entrain touchant, montrant en riant leurs dents blanches: Oui, oui, camarades! Camarades! L

L'officier de turcos vingt-huit ou trente ans, blond, gai, souriant, la joue bronzée

Tel bataillon, que dis-je? telle compagnie, telle section, voire même telle escouade, marche mieux que telle autre: elle a moins de traînards. La légion étrangère fait colonne avec les turcos, les zouaves, les zéphyrs. Eh bien! les hommes de ces divers régiments mourraient sous le faix plutôt que de s'avouer rendus. Un légionnaire en arrière? fi donc! Jamais de traînards chez nous!

Cette espèce de spectre embrassa, avec une ferveur effrayante, la grande image d'or qui rayonnait, ironique, au-dessus du carnage, et, au moment un de mes turcos s'approchait pour le repousser, le petit Chinois poussa un cri aigu, suppliant et menaçant

L'hiver était venu. Nous étions harassés et désespérés. On se battait maintenant tous les jours. Les hommes affamés ne marchaient plus. Seuls les huit turcos (trois avaient été tués) demeuraient gras et luisants, vigoureux et toujours prêts