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Le chevalier et le vieux routier, pendant ces quelques instants, avaient tenu leurs yeux fixés sur Marie Touchet et l'éloquence de leurs regards la remerciait. Ils sortirent, environnés de leurs gardes, déj

Alors il se souvint de la vierge sur le sein de laquelle il avait pleuré et souri sans contrainte, et l'avenir lui apparut encore riche du passé. Marie Touchet, cependant, avait souffert sans se plaindre de son abandon. Elle était revenue en France, pour vivre au moins près de Charles, s'il ne lui était plus permis de vivre pour lui.

Dans une heure, ces maudits Pardaillan auront tout avoué, et je saurai la vérité. Marie Touchet jeta un cri. Tu dis qu'on va questionner deux hommes qui s'appellent Pardaillan? Oui-da. Ce sont sans doute des serviteurs de Guise. Sire, s'écria Marie Touchet, je vous demande grâce pour ces deux hommes. Ça! perds-tu la tête?... Non, non, mon bon Charles!

Le médecin m'a prévenu, madame, qu'il ne passerait pas le mois. Oh! pauvre gentilhomme, dit Marie Touchet; mais si vous perdez votre père, il vous restera des amis. La Ramée s'inclina légèrement en regardant Henriette qui s'apprêtait

Ayant achevé son ambassade, la Varenne partit, non sans avoir reçu un gage de la reconnaissance de Marie Touchet: c'était une boîte de perles d'or, présent compact, d'un prix certain, comme il convient au salaire de ces spéculateurs positifs. Henriette semblait rester en extase après le départ du porte-poulets. Son père et son frère vinrent lui prendre les mains en minaudant. Eh bien! dirent-ils.

J'attendais le moment des explications. Le roi en soupant me lançait des regards farouches... J'en ai été malade, et le suis encore, mesdames. Marie Touchet chercha des élixirs dans sa cassette, et en offrit une collection au porte-poulets. Pouvez-vous continuer? demanda Henriette.

En ce moment, M. le duc d'Angoulême, bâtard de Charles IX et de Marie Touchet, venait de se joindre au cortége avec le duc de Guise que nous avons déj

Vous tenez au roi la bride bien haute, mesdames. Qui nous en empêche désormais, repartit Marie Touchet fière de se rappeler les dangers passés, et cette mort de la Ramée qui avait rendu libre

A l'hôtel de la Force. Brantôme a prétendu que Marie Touchet étoit fille d'un apothicaire d'Orléans; mais suivant Le Laboureur, dans les Additions sur les Mémoires de Castelnau, et Dreux du Radier, dans les Reines et Régentes, le père de Marie Touchet auroit été lieutenant particulier au bailliage d'Orléans. Cet événement arriva le 9 juin 1606.

En disant ces mots, dans son ardeur de sortir et d'éloigner Marie Touchet du pavillon elle poussait doucement celle-ci dehors. Marie Touchet la poussant