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Oh! nous avons cependant vu des spécimens de ses habitantes, répondit la duchesse d'un ton vague. Je dois confesser que la plupart sont très jolies. Et leurs toilettes aussi. Elles s'habillent toutes

D'aucuns arrivent dans des toilettes préméditées depuis huit jours. En saluant l'artiste, ils feignent une émotion qui doit, pensent-ils, amener quelque bienveillante question

Enfin Anna avait encore des relations d'amitié avec le grand monde par excellence, ce monde de bals, de dîners, de toilettes brillantes, qui tient d'une main

Elle leva les dentelles un peu jaunies qui préservaient avec des parfums tout ce blanc d'innocentes toilettes, les béguins, les brassières, par rang d'âge et de taille, la robe pour le baptême, la guimpe

Pendant la représentation, Napoléon inspectait la salle, les visages, les toilettes, les attitudes; il remarqua dans une loge un vieillard dont la belle tête blanchie et la physionomie fine le frappèrent; ayant appris que ce vieillard était Wieland, le «Voltaire de l'Allemagne», il exprima le désir qu'on le lui présentât dans la soirée.

Je me gardais bien de me laisser voir. Ma fatuité paternelle voulait encore douter de son oubli. Je la suivais de loin, me dissimulant derrière les promeneurs. Elle me paraissait plus jolie encore dans le luxe de ses toilettes. C'était un chef-d'œuvre encadré. Elle semblait heureuse.

La préoccupation de lui plaire toujours, plus qu'aucune autre, et de le garder contre toutes, avait fait de sa vie entière un combat ininterrompu de coquetterie. Elle avait lutté pour lui, devant lui, sans cesse, par la grâce, par la beauté, par l'élégance. Elle voulait que partout il entendrait parler d'elle, on vantât son charme, son goût, son esprit et ses toilettes.

51. Le dortoir (oda est le nom turc) était une chambre spacieuse dans laquelle étaient rangés, le long des murs, des lits, des toilettes, et mille autres objets que je pourrais décrire, attendu que j'ai tout vu; mais il suffit; il y manquait fort peu de chose , c'était

Mme Pickmann exagérait évidemment quand elle parlait de ses toilettes, car sa garde-robe, comme la mienne, n'était pas des mieux «fournies».

Je t'aime pour cette bonne vie heureuse que tu me donnes, pour ma voiture, pour mes jolis chevaux, pour mes belles toilettes, pour les pièces d'or neuves dont, sans te lasser, tu emplis ma bourse, pour cette parure de perles que j'ai au cou, pour ce bracelet... pour tout enfin. L'énumération était désolante. Chaque mot trahissait un égoïsme féroce en sa naïveté.