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«Quand je pense, dit-il en saisissant un casse-tête, que si j'étais dans l'Océanie, ce serait avec cet instrument que je tenterais d'assommer M. de Champlâtreux. Nous serions tatoués de la tête aux pieds; Mme de La Taillade nous regarderait de loin et se passerait un anneau dans le nez pour aller ce soir au bal. S'il avait de l'esprit, ce M. René, il demanderait la lutte au tomahawk. Quelle aubaine pour les journaux! Mais il est fort

Ce fut dans une de ces excursions nocturnes que me vint la première idée de la «nuit de Walpürgis» du Faust de Goethe. Cet ouvrage ne me quittait pas; je l'emportais partout avec moi, et je consignais, dans des notes éparses, les différentes idées que je supposais pouvoir me servir le jour je tenterais d'aborder ce sujet comme opéra, tentative qui ne s'est réalisée que dix-sept ans plus tard.

Eh bien! après M. de Guiche?... que je regretterai, du reste, je vous en préviens, Sire. Ah! vous le regretterez? Sans doute; il est aimable, il a pour moi de l'amitié, il me distrait. Ah! si Monsieur vous entendait! fit le roi piqué. Savez-vous que je ne me chargerais point de vous raccommoder et que je ne le tenterais même pas?

Eh bien! qu'elle se purifie en nous abritant. Allons, vieillard, suivez-moi. Je vous déclare qu'en une pareille nuit je tenterais l'hospitalité d'une caverne de voleurs. Alors, malgré les remontrances du vieillard, dont il avait saisi le bras, il se dirigea vers l'édifice, que les fréquentes lueurs des éclairs lui montraient

Suite du précédent. Je tenterais vainement de peindre ce que, dans cette terrible journée, j'ai vu de carnage et d'horreur. Conduite au sein des dangers sans aucune intention belliqueuse, j'évitais cependant les combats qui ne m'effraient point. Mais dans ce triomphe d'Eylau, si chèrement acheté, je ne fus plus maîtresse de mes actions; il fallait marcher ou suivre, et fuir était impossible: Ney était en avant, l

La comtesse hocha la tête. Je le tenterais inutilement, répondit-elle. Vous ne connaissez pas le comte. Il est de fer. Vous lui arracheriez la chair lambeau par lambeau avec des tenailles rougies qu'il ne retirerait pas une seule de ses paroles... Vous ne pouvez concevoir tout ce qu'il a souffert, ni tout ce qu'il y a dans son âme de haine et de rage de vengeance.

Aujourd'hui, je tirais de Lavoix quelques renseignements sur l'helléniste Hase, qui a laissé des Souvenirs polissons manuscrits écrits dans le grec le plus pur, et dont je voudrais faire, sous un pseudonyme, un des personnages d'une plaquette érotique, je tenterais d'introduire les conversations les plus hautes sur l'amour physique.

Ne dirait-on pas que j'ai oublié quels moyens nous employons pour surprendre les secrets de ridicule ou d'infamie que nous exploitons!... Je t'avais bien jugé, dit le placeur. En quoi? J'avais prévu que le jour tu te sentirais assez fort pour te passer de nous, tu tenterais de rompre les liens qui nous unissent. Aujourd'hui tu voudrais nous abandonner.

Je t'ai offert et conseillé ce que je tenterais pour moi- même, si la nécessité m'y contraignait. Mon esprit est équitable, et je n'ai point dans ma poitrine un coeur de fer, mais compatissant.

J'entre dans l'époque j'ai touché de près, et avec quelque puissance, aux affaires de mon pays. Si j'étais sorti de l'arène comme un vaincu renversé et mis hors de combat par ses vainqueurs, je ne tenterais pas de parler aujourd'hui des luttes que j'ai soutenues. Mais la catastrophe qui m'a frappé et brisé a tout frappé et brisé autour de moi, les rois comme leurs conseillers, mes adversaires comme moi-même. Acteurs de ce temps, nous sommes tous des vaincus du même jour, des naufragés de la même tempête. Je ne me flatte pas que les grands coups du sort, même les plus rudes, portent partout et soudain la lumière. Je crains que les idées, les passions et les intérêts avec lesquels j'ai été aux prises ne possèdent et n'agitent encore bien des coeurs. La nature humaine est aussi obstinée que légère, et les partis ont des racines que les plus violentes secousses n'extirpent pas complètement. Pourtant j'ai la confiance que, dans les régions un peu hautes de la vie publique, le jour s'est levé assez grand et nous avons tous aujourd'hui l'esprit assez libre pour que nous puissions regarder dans le passé en y cherchant les enseignements de l'expérience, non de nouvelles armes de guerre. C'est avec ce sentiment, et avec celui-l