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On ne peut méconnaître dans ce roman la première idée de celui qui fait le fond des Mille et une Nuits la sultane Shéhérazade qui ne dort pas, amuse autant de fois par des contes le sultan son époux, pour l'empêcher de lui couper la tête. La ressemblance avec le Décaméron de Boccace est moins frappante; on voit pourtant qu'ils ont de commun cette idée fondamentale de réunir plusieurs personnes qui, dans un espace de temps donné, et en se proposant un but, racontent différentes histoires. Il y a, dans quelques détails, d'autres rapports, même des traits d'imitation; et voici ce qui les explique. Ce roman indien, dont on nomme l'auteur Sendebad ou Sendebard fut successivement traduit en arabe, en hébreu, en syriaque, en grec, et imité du grec en latin au douzième siècle, par un moine français nommé Jean , sous le titre de Dolopathos ou de Roman du Roi et des sept Sages. Dans le même siècle, il fut mis en vers français par un poëte nommé Hébers , et en prose par un traducteur inconnu, avec des changements dans le fond, dans la forme et dans le nombre des Nouvelles . On y en reconnaît trois du Décaméron: il est donc plus que probable que Boccace eut entre les mains le Delopathos latin ou français, qu'il en emprunta l'idée de rattacher

L'ornementation d'un des tores de la porte de l'église que présente la planche VI nous donne le dessin ci-contre (fig. 30). Or, cet ornement est absolument syriaque, ainsi que le démontre la figure 31, reproduisant un ornement sculpté sur le linteau d'une porte

Avant ces grands hommes, un bon traducteur nommé Yahya fils du Patrique, affranchi de Mamoun, avait donné une version syriaque des Histoires des animaux d'Aristote et une version arabe du Timée. Les Arabes connaissaient deux Timée de Platon, qu'ils divisaient en plusieurs livres, et l'on ne voit pas très clairement quels ouvrages ils désignaient par l

Il n'est pas probable qu'il ait su le grec. Cette langue était peu répandue en Judée hors des classes qui participaient au gouvernement et des villes habitées par les païens, comme Césarée . L'idiome propre de Jésus était le dialecte syriaque mêlé d'hébreu qu'on parlait alors en Palestine . A plus forte raison n'eut-il aucune connaissance de la culture grecque. Cette culture était proscrite par les docteurs palestiniens, qui enveloppaient dans une même malédiction «celui qui élève des porcs et celui qui apprend

Pancrace Grec ? Sganarelle Non. Pancrace Hébreu ? Sganarelle Non. Pancrace Syriaque ? Sganarelle Non. Pancrace Turc ? Sganarelle Non. Pancrace Arabe ? Sganarelle Pancrace Ah ! français. Sganarelle Fort bien. Pancrace Sganarelle (

Son oeuvre plus spécialement scientifique est fort importante. Il aurait traduit la Géographie de Ptolémée, dont une version syriaque existait antérieurement . Il recensa les

Le narrateur dit que toute la terre ou contrée n'avait qu'une langue, il ne la spécifie pas cette langue. Quelqu'un a-t-il le droit de décréter que ce fut l'hébraïque? il me semble que non; d'abord parce que le texte lui-même ne le spécifie pas; parce que dans l'histoire d'Abraham, ce père de la race hébraïque, lorsque le texte dit qu'il naquit dans la terre de Sennar (bien connue pour être un pays syrien), qu'ensuite son père l'emmena dans le pays de Harran (également syrien), ce texte donne droit de penser que la langue nationale de la famille d'Abraham fut le syrien ou syriaque, dont, au temps de Jacob et de Laban, l'existence formelle nous est attestée, et se continue sans interruption jusqu'

Honéïn traduisit en syriaque les Herméneia d'Aristote, une partie des Analytiques, les livres de la Génération et de la Corruption, de l'Ame, le livre 30 de la Métaphysique, divers commentaires, des ouvrages de Galien et d'Hippocrate, l'Isagoge de Porphyre, la Somme de Nicolas sur la philosophie d'Aristote; en arabe, il traduisit une grande quantité de livres de médecine et de science par Hippocrate, Galien, Archimède, Apollonius et d'autres, et, comme ouvrages philosophiques, la République, les Lois et le Timée de Platon, le commentaire de Thémistius au livre 30 de la Métaphysique d'Aristote, les Catégories, la Physique, la Morale d'Aristote.

Le nom de mardaïtes qu'emploie ici l'auteur, est un terme syriaque qui signifie rebelle, et par son opposition

Ma position au séminaire n'a reçu, depuis nos derniers entretiens, aucun changement bien sensible. J'ai la faculté d'assister régulièrement au cours de syriaque de M. Quatremère, au Collège de France, et j'y trouve un intérêt extrême. Cela me sert