United States or Vietnam ? Vote for the TOP Country of the Week !


Tout le monde sait que les gens les plus capricieux et les plus désagréables se calment toujours, ne fût-ce que pour quelque temps, alors qu'ils obtiennent satisfaction. Au contraire, Foma Fomitch n'en devint que plus stupidement arrogant.

Je me sentais passionnément, stupidement épris et l'indéfinissable atmosphère de mystère, qui l'entourait, excitait au plus haut point ma curiosité. Quand elle fut sur le point de partir, ce qu'elle fit fort peu de temps après le dîner, je lui demandai si je pourrais lui rendre visite.

La mort du roi Georges Ier de Grèce, frappé stupidement cette semaine,

Et vous vous figurez que cela est! et vous vous imaginez que ce plébiscite existe, que cette constitution de je ne sais plus quel jour de janvier existe, que ce sénat existe, que ce conseil d'état et ce corps législatif existent! Vous vous imaginez qu'il y a un laquais qui s'appelle Rouher, un valet qui s'appelle Troplong, un eunuque qui s'appelle Baroche, et un sultan, un pacha, un maître qui se nomme Louis Bonaparte! Vous ne voyez donc pas que c'est tout cela qui est chimère! vous ne voyez donc pas que le Deux-Décembre n'est qu'une immense illusion, une pause, un temps d'arrêt, une sorte de toile de manoeuvre derrière laquelle Dieu, ce machiniste merveilleux, prépare et construit le dernier acte, l'acte suprême et triomphal de la Révolution française! Vous regardez stupidement la toile, les choses peintes sur ce canevas grossier, le nez de celui-ci, les épaulettes de celui-l

Oui, deux ans s'étaient écoulés, depuis cette soirée fatale la voix stupidement railleuse du comte de la Ville-Handry avait tout

[Note 13: C'est ce même mépris qui me fit garder le silence sur l'imbécile rapsodie diffamatoire d'un nommé Despaze, qui prétendait aussi que j'étais l'auteur de ce livre infâme que pour l'intérêt même des moeurs on ne doit jamais nommer. Sachant que ce polisson n'était qu'un chevalier d'industrie, vomi par la Garonne pour venir stupidement dénigrer

«Sentant qu'il serait pris, le jeune instituteur, affolé, répondit stupidement: « J'étais monté me reposer un peu sur les bottes, monsieur Grabu. «Ce grenier était très grand, très vaste, absolument noir; et Sigisbert poussait vers le fond la jeune fille effarée, en répétant: «Allez l

Alors quelques-uns fondirent en larmes; d'autres, regardant stupidement, ne pouvaient pas encore séparer leurs espérances de leurs craintes et semblaient n'avoir rien vu de nouveau. On les remua par la main et par la tête afin de les éveiller, mais on les trouva morts.

Heimkehr (Le Retour) raconte le retour au pays d'un blessé de la guerre. Johann Bogdan, qui était le coq du village, y revient défiguré. A l'hôpital on lui a refait le visage, avec des lambeaux de chair coupés et greffés. Quand il se voit dans le miroir, il s'épouvante. Au village, on ne le reconnaît plus. Seul, un bossu, qu'il méprise, l'humilie de sa familiarité. Le pays est transformé. On y a installé une fabrique de munitions. La promise de Bogdan, Marcsa, y travaille, et elle est devenue la maîtresse du patron. Bogdan voit rouge; il tue le patron d'un coup de couteau. Il est assommé aussitôt après. On sent, dans cette nouvelle, monter la révolution: elle s'empare, malgré lui, du cœur de Bogdan qui était, de nature, foncièrement, stupidement conservateur. Vision menaçante du retour des poilus de toutes les armées, qui se vengent de ceux qui les ont envoyés

Animée par de tels regrets, fortifiée par l'ardeur plus vive, par la certitude, par l'adhésion claire de la volonté, comme elle se creusa, comme elle s'élargit, comme elle se fit, douce, la tendresse de Jean pour l'ouvrière! Elle ne contenait, rien de vague ou de stupidement romanesque, elle transportait le jeune homme d'une joie saine et clairvoyante, pour ainsi dire.