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Il est mon hôte et mon ami. Mon fils unique porte son nomAlors a dit Joseph Spalatin: «Livre-nous Jean Veliko, ou tu feras couler du sang. Nous sommes venus de l'est sur des chevaux de bataille, avec des armes chargées.» «Je ne te livrerai pas Jean Veliko, et, s'il te faut du sang, sur cette montagne l

En vingt-cinq pages de prose française, le poète y racontait la triste histoire du vieux bey Spalatin: l'enlèvement de sa petite-fille, la belle Iska, par le cruel Pervan, «chef de mille heyduques farouches», et la course désespérée du vieillard, les poursuivant jusqu'au château même de l'intrépide brigand.

Elle se compose de trois courts poèmes, également traduits de l'esclavon, affirmait Nodier avec plus de raison. Le premier est un «poème de tradition morlaque», le Bey Spalatin, pièce inédite, disait le traducteur, «une de ces romances nationales qui ne sont conservées que par la mémoire des hommes».

Une balle a tué Nicolas Jagnievo; une balle a tué Joseph Spalatin; mais il a coupé la main droite

Nodier sut se défendre de cette accusation. Il prétendit avoir ébauché son roman «en 1812, aux lieux mêmes qui l'ont inspiré»; donc, «Jean Sbogar avait quatre ou cinq ans de plus que son aîné d'invention» (le Corsaire est du mois de janvier 1814!). Et ce n'était pas tout. Jean Sbogar avait réellement existé: les petits enfants des bords du golfe de Trieste vous l'attesteront quand vous prendrez la peine de les interroger sur ce sujet. La cour de justice qui le condamna était présidée par M. le comte Spalatin. «Je me vois obligé, disait Nodier dans sa préface de 1832,

De même on voit dans le Bey Spalatin le vieux chef de tribu détacher sa guzla mélodieuse et chanter «les victoires du fameux Scanderbeg, les douceurs du sol natal, les regrets amers de l'exil», accompagnant chaque refrain d'un cri «douloureux et perçant ». Et

Vient ensuite, disait-il, le chant de Spalatin-Bey qui est bien certainement d'origine ancienne... Le noble et courageux Spalatin est un des plus beaux caractères qu'ait tracés la poésie. Le récit a dans son ensemble toute la simplicité; dans son expression, toute la fierté des temps anciens.

Les noms de personne, s'ils ne sont tous authentiques, ont un certain cachet d'exotisme. Le nom de Fédor est russe et non pas serbe; Spalatin est emprunté

«Thérèse Gelin, ce garçon est-il le fils de JeanMais elle répondit: «Vous ne verserez pas le sang d'un innocentAlors ils ont tous crié: «C'est le fils de Jean VelikoJoseph Spalatin voulait l'emmener avec lui, mais Fédor Aslar lui perça le cœur de son ataghan, et il tua le fils de George Estivanich, croyant tuer Alexis Veliko.

Or, Nicolas Jagnievo, et Joseph Spalatin, et Fédor Aslar se sont réunis