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Ils trônèrent pareils, les cloîtres lumineux, Jusqu'au jour les vents de la Grèce fatale Jetèrent brusquement leurs souffles vénéneux A travers la candeur de l'âme occidentale. Le monde émerveillé s'emplit d'esprit nouveau. Mais les moines soudain grandirent

A gauche, se creusent des boutiques obscures, basses, écrasées, laissant échapper des souffles froids de caveau. Il y a l

Il rompit le pain avec Martine. Elle avait les mains rougeaudes! Il se rappela qu'il en avait vu de toutes blanches, qui ne semblaient faites que pour porter des lys. Ah! dit la soubrette boudeuse, je n'ai pas de chance d'avoir un galant de ton acabit! Tu ne souffles mot. Veux-tu bonne fortune plus relevée? Ce n'est point pour te faire affront, Martine! Le soleil m'entête.

Ils se couchèrent et s'endormirent comme la veille, mêlant leurs souffles sonores au souffle plus faible du vieux. Quand ils s'éveillèrent, il n'était point mort. Alors ils furent atterrés.

L'air sanglote et le vent râle, Et sous l'obscur firmament, La nuit sombre et la mort pâle Le regardent fixement, le bois sombre plein de souffles froids Cosette, la nuit, va pour chercher un seau d'eau, pénètrent d'une horreur sacrée. M. Hugo est par excellence le grand poète du Noir, et comme son satyre, connaît Le revers ténébreux de la création.

À ce moment, c'était surtout le marolles qui dominait; il jetait des bouffées puissantes, une senteur de vieille litière, dans la fadeur des mottes de beurre. Puis, le veut parut tourner; brusquement, des râles de limbourg arrivèrent entre les trois femmes, aigres et amers, comme soufflés par des gorges de mourants.

Petites caisses d'oeufs soufflés au Parmesan. Séparez les jaunes de 4 ou 5 oeufs, travaillez les jaunes dans une terrine avec une bonne cuillerée de crème double, un quart de beurre frais, une poignée de parmesan et gruyère râpés, un peu de muscade, sel, poivre et une pointe de cayenne. Lorsque votre appareil est assez travaillé, ajoutez-y les blancs fouettés, emplissez des petites caisses

Vous, qui l'avez suivi dans sa blême vallée, Au bord de cette mer d'écueils noirs constellée, Sous la pâle nuée éternelle qui sort Des flots, de l'horizon, de l'orage et du sort; Vous qui l'avez suivi dans cette Thébaïde, Sur cette grève nue, aigre, isolée et vide, l'on ne voit qu'espace âpre et silencieux, Solitude sur terre et solitude aux cieux; Vous qui l'avez suivi dans ce brouillard qu'épanche Sur le roc, sur la vague et sur l'écume blanche, La profonde tempête aux souffles inconnus, Recevez, dans la nuit vous êtes venus,

Il part pour la montagne, et son cheval l'enlève: Vivent les monts! l'esprit avec les pas s'élève. Et le maître, emporté par des souffles divins, S'en va, poëte équestre, au-dessus des ravins, Au galop, dans le vent, selon sa fantaisie, Humer,

La montre de Jean indique six heures. Des nuances d'or s'égrènent dans l'azur au-dessus des montagnes. Des souffles tièdes, inconstants, folâtrent dans l'air: et quand ils effleurent les tempes du jeune homme, il a l'âme plus apaisée. Le calme a détendu les nerfs si vibrants tout