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[Note 64: Ces intéressants détails sur Ischia, Capri et les environs de Sorrente nous ont été fournis par deux personnes de notre famille qui ont assisté

J'étais donc retourné voir ce pays au charme si enivrant; j'avais visité Naples et Capri, puis Sorrente, tous ces sites pittoresques et d'une si captivante beauté qu'embaument les senteurs des orangers, et tout cela au lendemain d'une aussi inoubliable soirée. Je vivais dans le plus indicible des ravissements. Une semaine après, nous étions

Une langueur de paresse, une poésie de farniente, se lève dans les senteurs pâmées de ces jardins d'Armide... Sorrente, c'est le Tasse, comme Baïes, la côte de cendres et de cavernes et de terreur: c'est Tacite. Une note que me fait écrire aujourd'hui le feuilletage de mon carnet de notes sur l'Italie.

On lui montra Sorrente et Castellamare; on la promena pendant huit jours de village en village sans la décider

Le port? Naples. Et Pierre devant ses yeux troublés crut apercevoir le panache de feu du Vésuve tandis qu'au pied du volcan, des lucioles voltigeaient dans les bosquets d'orangers de Sorrente ou de Castellamare! Que de fois il avait rêvé de ces noms familiers, comme s'il en connaissait les paysages.

Les environs, ces merveilles qu'on appelle le Vésuve, Portici, Castellamare, Sorrente, Pompéï, Herculanum, les îles d'Ischia et de Capri, Pausilippe, Amalfi, Salerne, Pœstum enfin avec ses admirables temples doriques que baignaient autrefois les flots d'azur de la Méditerranée, me semblèrent une véritable vision. Ce fut absolument l'inverse de Rome: le ravissement instantané.

Pour voir un mariage si nouveau, on vint de bien loin: de Salerne et de la Cava, d'Amalfi et de Sorrente, même d'Ischia et de Pouzzoles. Riches ou pauvres, jeunes ou vieux, amis ou jaloux, chacun voulait connaître Perlino. Par malheur, il ne s'est jamais fait de noce sans que le diable s'en mêle; la marraine de Violette n'avait pas prévu ce qui devait arriver.

Je n'ai vu qu'un instant les pays beaux et clairs, Sorrente, qui descend, fasciné par la mer, Tarente, délaissé, qui fixe d'un oeil vague Le silence entassé entre l'air et les vagues; Salerne, au coeur d'ébène, au front blanc et salé, la chaleur palpite ainsi qu'un peuple ailé; Amalfi, j'ai vu de pourpres funérailles Qu'accompagnaient des jeux, des danses et des chants, Surprises tout

C'était une vue terrible pour Murat que celle de cette île qui lui fermait sa rade comme avec une chaîne de fer; aussi le matin, lorsque le soleil se levait derrière Sorrente, c'était cette île qui attirait tout d'abord ses yeux; et le soir, lorsque le soleil se couchait derrière Procida, c'était encore cette île qui fixait son dernier regard.

De plus, la scène est vraie: le vieux poëte du môle de Terracine ou de Sorrente exerce sa profession en plein air pour gagner, en accompagnant ses stances de sa guitare, le pain, l'huile et le fromage nécessaires au souper de sa famille. Sa figure est triste et résignée au fond, mais