United States or Malaysia ? Vote for the TOP Country of the Week !


La critique se montra condescendante, mais pas davantage. Mes rapports avec l'Opéra de Prague donnèrent plus de résultats. Durant plusieurs années de suite, y furent donnés: la Nuit de Mai, la Fiancée du tzar et Snegourotchka, tous avec un grand succès.

Au point de vue vocal, je crois aussi avoir fait un grand progrès dans Snegourotchka. Toutes les parties vocales furent écrites commodément et dans une tessiture naturelle des voix, et,

Fort troublé par les événements du Conservatoire, je fus longtemps avant de me remettre au travail. Après divers essais d'une étude contenant l'examen de ma Snegourotchka, je me suis mis enfin

Le jardin de la propriété contenait des cerisiers, des pommiers, des groseilliers, beaucoup de fraises et de framboises, des lilas en fleurs; profusion de fleurs des champs, gazouillement continu des oiseaux, tout cela s'harmonisait particulièrement avec mon état d'esprit panthéistique d'alors et ma toquade pour le sujet de Snegourotchka.

Ier acte, après la cérémonie nuptiale jusqu'au finale. Les chœurs «Prosso» et la fonte de Snegourotchka. Le chœur final. Tout le brouillon de l'opéra fut terminé le 12 août. Dans les intervalles, quand les dates ne se suivent pas, je réfléchissais aux détails. Nulle de mes œuvres ne fut écrite auparavant avec autant de facilité et de rapidité que Snegourotchka.

J'avais eu l'idée, durant l'hiver précédent, d'écrire un opéra sur les paroles de Snegourotchka, d'Ostrovsky. J'avais lu pour la première fois ce conte dramatique vers 1874, lorsqu'il venait de paraître. A la première lecture, il me plut peu: le royaume de Berendeï me parut fort étrange;

Introduction du IIIe acte, la ronde et le chant du castor. La suite et la 2e cavatine du tzar. Final en «si majet l'ariozo de Snegourotchka. Le Printemps descend dans le lac. Le final du Ier acte. Le chœur des joueurs de «psaltérion». 22. La scène du jugement, jusqu'

La maîtrise de Rimsky-Korsakov, mettant en valeur ses dons innés, s'affirma de plus en plus dans ses propres productions: les opéras la Nuit de Mai, écrit en 1879, et Snégourotchka, cette œuvre d'une poésie épique, tout imprégnée du lumineux paganisme slave, et qui, incomprise au début, fit bientôt solidement asseoir la renommée du jeune compositeur.

Par affection pour mon cher Sacha et aussi pour nombre de mes élèves, je résolus de ne pas démissionner pour l'instant, car les intentions de Glazounov étaient les meilleures, et il m'était pénible de déranger ses projets. <tb> Pendant la deuxième moitié de la saison, Snegourotchka fut reprise au théâtre Marie, et donnée onze fois, sous la direction de Blumenfeld.

En achevant Snegourotchka, je me suis senti un musicien mûri, un compositeur d'opéra définitivement équilibré.