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Il y avait, par exemple, des cafés de première, de deuxième et de troisième classe, comme les préfets, et pour chaque catégorie était réglé avec prévoyance le nombre des salles, des tables, des billards, des glaces, des ornements et des dorures.

Tudun quitta Aix-la-Chapelle assez mécontent, malgré les caresses et les fêtes, et bien refroidi dans sa ferveur chrétienne. Il avait espéré que le vainqueur lui laisserait la possession de son royaume pour prix de sa docilité et en vertu de son baptême, mais il s'était trompé dans ses calculs: Charlemagne avait besoin de s'assurer des positions militaires en Hunnie, soit contre une révolte des Avars eux-mêmes, soit contre l'empire grec, dont la mauvaise humeur devenait menaçante, et qui pouvait un jour ou l'autre tenter contre lui, sur les bords du Danube, au moyen des Huns, ce qu'il tentait naguère sur ceux du au moyen des Lombards. Ce double motif lui fit réserver les Pannonies, qu'il incorpora au territoire frank comme une annexe de la Bavière. Il en fit autant de la rive gauche du Danube jusqu'au Vaag. Le reste fut conservé comme royaume de Hunnie, vassal de l'empire frank, et le kha-kan Tudun en obtint l'investiture des mains de Charlemagne. Par suite de ce partage, les provinces pannoniennes reçurent des gouverneurs royaux, qualifiés de comtes ou de préfets, et l'empire frank toucha l'empire grec

Quelques jours après, ayant adressé aux préfets une circulaire

Les deux lois dont il s'agit étaient trop urgentes, trop bien conçues, pour rencontrer de sérieux obstacles. Elles essuyèrent cependant plus d'une attaque au Tribunat. Des objections assez mesquines furent élevées contre le système administratif proposé. On se plaignit peu de la concentration d'autorité dans la main des préfets, sous-préfets, maires, car cela était conforme aux idées du moment, et imité de la Constitution, qui plaçait un chef unique

«C'est vrai, je suis dans les préfets depuis un mois.... Il a fallu que je les fasse tous venir. Un joli défilé, allez! il y en a de stupides. Enfin, ils sont obéissants. Mais je commence

«Je me suis fait rendre un compte détaillé de toutes les parties de l'administration. J'ai introduit dans ces diverses branches la simplicité, qu'avec le secours de la consulte et de la censure, j'ai portée dans la révision des constitutions de Lyon. Ce qui est bon, ce qui est beau, est toujours le résultat d'un système simple et uniforme. J'ai supprimé la double organisation des administrations départementales et des administrations de préfecture, parce que j'ai pensé qu'en faisant reposer uniquement l'administration sur les préfets, on obtiendrait non-seulement une économie d'un million dans les dépenses, mais encore une plus grande rapidité dans la marche des affaires. Si j'ai placé auprès des préfets un conseil pour le contentieux, c'est afin de me conformer

Ce fût en vain que pour arrêter et prévenir les procédures dispendieuses qui éclatèrent de toute part entre les administrations de bienfaisance de la ville de Liége, propriétaires d'Arènes, et les exploitans de houille, les ci-devant préfets tentèrent de concilier les différens en persuadant les exploitans de servir le cens d'Arène.

Le lendemain, 26 janvier (6 pluviôse), il se rendit dans le local destiné aux séances générales de la Consulte. C'était dans une grande église, disposée et décorée pour cet usage. Tout s'y passa comme dans une séance royale, soit en France, soit en Angleterre. Le Premier Consul, entouré de sa famille, des ministres français, d'un grand nombre de généraux et de préfets, était placé sur une estrade. Il fit en langue italienne, qu'il prononçait parfaitement, un discours simple et précis, dans lequel il annonça son acceptation, ses vues pour le gouvernement et la prospérité de la nouvelle République, et proclama les principaux choix qu'il avait faits, conformément aux voeux de la Consulte. Ses paroles furent couvertes par les cris de Vive Bonaparte! Vive le Premier Consul de la République française! Vive le Président de la République italienne! On lut ensuite la Constitution, et la liste des citoyens de tous les rangs qui devaient contribuer

Qu'un chat puisse se changer en lion, les préfets de police ne le croient pas possible; cela est pourtant, et c'est l

Les pièces soi-disant authentiques de ce temps sont corrompues; rien ne se publiait, livres et journaux, que par l'ordre du maître: Bonaparte veillait aux articles du Moniteur; ses préfets renvoyaient des divers départements les récitations, les congratulations, les félicitations, telles que les autorités de Paris les avaient dictées et transmises, telles qu'elles exprimaient une opinion publique convenue, entièrement différente de l'opinion réelle.