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En hongrois les prépositions, comme les pronoms possessifs, se mettent, de même qu'en turc,

On ne dira pas, cette maison est bien située, et ses promenades sont belles; mais on dira, les promenades en sont belles. Ne dites pas non plus, cette ville est belle, j'admire ses bâtimens; dites, j'en admire les bâtimens. Il faudroit, pour pouvoir se servir des pronoms son, sa, ses, qu'ils fussent dans un même membre de phrase. Sonnet.

Je laisse la double ll. aux pronoms, elle, & laquelle. J'ay retranché l'h, de beaucoup de mots que nous prononçons sans aspiration. Je l'ay retenüe

Promener. Je promene beaucoup. Il faut conjuguer ce verbe, avec deux pronoms personnels,

Un voyageur et encore plus un auteur de mémoires sont toujours leurs propres héros. Les Anglais ont une heureuse expression, celle d'égotisme, qui n'est pas odieuse comme le mot français égoïsme, pour caractériser la manie, ou quelquefois la nécessité de mettre au premier rang, dans un récit, les pronoms personnels je et moi. Quoique dans cette histoire d'une vie aventureuse et agitée, j'aie souvent

Viennent ensuite les pronoms possessifs. Ici Gyarmathi signale une autre similitude. En lapon et en hongrois, il n'y a pas proprement de pronoms. On exprime le possessif au moyen de lettres placées

Voltaire trouvoit ridicule notre expression, il se porte bien, pour dire, il jouit d'une parfaite santé; mais on ajoute au ridicule, en disant, il est bien portant. Ce verbe étant actif, il veut un régime; sans quoi, on pourroit demander: portant quoi? il faut donc le conjuguer avec deux pronoms personnels. Cette expression cependant est reçue généralement. Portion. Breuvage.

L'autre espèce de rime que M. de Banville affectionne, c'est celle qui tombe sur des prépositions, des pronoms relatifs ou des adjectifs possessifs. Cette rime est comique parce qu'elle impose au lecteur une prononciation anormale, parce qu'elle le contraint

Tu es une aussi bête créature de chrétienne que je le puisse désirer. EVANS. A présent, William, dites-moi quelques déclinaisons de vos pronoms. WILLIAM. Ma foi, je les ai oubliées. EVANS. Ki, ke, cod. Si vous oubliez vos kies, vos koes, vos cods, vous aurez le fouet. A présent, vous pouvez aller jouer. Allez. EVANS. Il a la mémoire prompte.

Il faut prononcer l'e et l'm comme dans la seconde syllabe du verbe condamner. Dans solemnité, solemniser l'e et l'm ont le son de l'a bref, comme dans femme, patiemment, négligemment, indifféremment, et autres semblables. Sôme. Dites, ânesse, s. f. Son, sa, ses. Ces pronoms ne peuvent pas être employés en toute occasion, en parlant des choses.