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Je serais désolée que vous prissiez la peine de venir chez moi!... Je suis tout

Je ne voudrais pas, répondit-elle, que vous me prissiez pour une fille sans entrailles; vous savez si je suis une soeur tendre; mais ici-bas chacun a voulu tuer en moi l'instinct sympathique qui lui correspondait. Dieu m'avait donné en naissant, comme

«Nous avons pensé, puisqu'il annonce que pour ce qui le concerne ainsi que M. Dumont il ne reconnaît que ce qui émane directement de vous, qu'il fallait que vous prissiez la peine de lui répondre, et j'ai l'honneur de vous envoyer la réponse que nous estimons devoir lui être faite. Si vous daignez l'approuver, auriez-vous la bonté de la signer et de me la renvoyer pour que je la fasse parvenir

Je désirerais que vous prissiez des informations pour connaître de quelle tribu ils sont; car mon intention est de les punir sévèrement. Il est temps enfin que ces brigands cessent d'inquiéter le pauvre peuple qu'ils rendent bien malheureux. Croyez, je vous prie, au désir que j'ai de vous faire du bien. Au général Marmont.

Monsieur, lui dit la reine, on m'assure que vous êtes porteur de nouvelles importantes; cela vous explique pourquoi j'ai désiré que vous prissiez la peine de passer au palais. Nous avons tous le plus grand intérêt

Je ne pus réprimer un léger mouvement d'embarras. M. de Rochegune me comprit, et me dit en souriant: Tenez, une comparaison vous rendra mon idée. Je serais désolé que vous prissiez ceci pour des galanteries; vous aimez beaucoup les tableaux, les belles statues, la belle musique, n'est-ce pas? Sans doute.

Votre lettre m'a rassurée, mon cousin, j'en avais besoin, et je me féliciterais bien plus des changemens que vous avez observés chez Claire, si je ne craignais qu'abusé par votre tendresse, vous ne prissiez l'affaissement total des organes pour la tranquillité, et la mort de l'âme pour la résignation.

Mais, en supposant que vous prissiez les deux mesures que je vous indique afin d'augmenter l'armée, vous sentez que le jour je serais près de Gratz, j'aurais le reste des forces autrichiennes sur les bras.

Et j'ajouterais la plus adorée, se je craignais que vous ne prissiez ce dire pour une gasconnade; ce dont, sur mon honneur, je serais fort malheureux! Je prie le lecteur de croire que le chevalier était bien sincère. Car, il le faut avouer en toute conscience, ce pauvre Mornac était amoureux de sa cousine.

Mon père, dit-elle avec cette douceur angélique qui avait le pouvoir de calmer les colères du vieillard et d'apaiser ses exaltations, mon père, vous êtes très fatigué et il serait bon que vous prissiez quelques heures de repos! Du repos! répéta-t-il, du repos! mais c'est du temps perdu, un temps précieux et que jamais plus je ne pourrai retrouver... Et si vous tombez malade!